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Musique et patrimoine de Carcassonne - Page 19

  • 19 août 1944 : Quinze résistants sont massacrés à Baudrigue. Récit d'une enquête inédite.

    Capture d’écran 2023-07-12 à 09.07.59.pngLa biographie et les photos des quinze victimes 

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    L'enquête sur le déroulé des évènements

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    Les criminels nazis

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    L'histoire du domaine de Baudrigue

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    Les faits au jour le jour

    Cinq années de travail d'enquête dans un livre inédit, publié à compte d'auteur.

    156 pp. 22 €

    Uniquement sur commande en écrivant par mail à :

    andrieu-martial@wanadoo.fr

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    Tous droits réservés / Musique et patrimoine / 2023

     

  • "Baudrigue, 19 août 1944", disponible à partir du 8 juillet 2023

    Mon livre sur Baudrigue, édité à compte d'auteur, sera disponible à partir du 8 juillet au prix de 22 €. Je vous propose dans un premier temps, soit de vous le remettre en main propre, soit de vous l'envoyer par la poste pour ceux qui sont loin de Carcassonne.
    Je serai à Carcassonne le 8 et 9 juillet, puis du 20 au 30 juillet.
    Merci d''envoyer un mail avec le nombre de livres souhaités et si vous voulez un envoi postal ou une remise en main propre avec dédicace ou pas à :
     
    andrieu-martial@wanadoo.fr
     
    Je n'ai pas décidé pour l'heure de séance de dédicace.

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    Baudrigue, 19 août 1944
    Le récit de l'horreur
    156 pages
    22€
     
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    © Tous droits réservés / Musique et patrimoine / 2023
  • L'Oasis, le café des lycéens de Paul Sabatier jusqu'en 1982

    Après la Première guerre mondiale, le limonadier Paul Loustau transforma un ancien affenage en café, à l'angle de l'allée d'Iéna et de la route de Toulouse. Sa situation géographique à proximité de la Nationale 113 et de la gare de l'Estagnol, lui procurait une importante clientèle. En 1927, il vendit son établissement à Paul Hugonnet et s'en alla créer un nouveau café dans le quartier des Capucins. Nous en parlerons à la fin de cet article.

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    Le café Hugonnet en 1940

    Paul Hugonnet (1889-1965), bourrelier de son état, et son épouse Ida disposent toujours de la clientèle des cheminots de la gare de l'Estagnol et des habitants du quartier du Pont d'Artigues. C'est le lieu de rendez-vous festif et accueillant d'une société d'après-guerre prompte à fraterniser. Paul Hugonnet n'est pas en reste lorsqu'il s'agit de faire des blagues. Un jour, un cheval entra même à l'intérieur du café ; cela ne manqua pas de susciter un certain émoi parmi la population du quartier. Il faut dire qu'à cette époque, la télévision n'avait pas encore cloué les gens chez eux. A quelques pas de là, près de l'actuelle rue de Barcelone, se trouvait un terrain vague. Propriété de M. Auzias, on y faisait les fêtes du quartier avec un grand bal animé par René Cadrès.

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    Paul Hugonnet en 1930. 

    A partir de 1963, le nouveau lycée Paul Sabatier fait son ouverture sur les anciens terrains de La Reille. Nouvelle manne de clients pour les époux Hugonnet dont le café devient le QG des lycéens. La mort de Paul Hugonnet oblige son épouse et sa fille, Lucienne (1920-2012) épouse Bigou, à diriger les affaires. 

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    Lucienne Bigou, Ida Hugonnet, M. Combes (client), Paul Hugonnet, M. Llari (client) et le jeune Daniel Bigou en 1955

    Changement radical de nom et de formule en 1976. L'établissement se met au diapason de la modernité et prend le nom de l'Oasis, snack-bar. On y sert de la soupe au fromage et du cassoulet. Le club de rugby de Saint-Jacques XIII y installe son siège au premier étage. Gilbert, le cuisinier de la maison, ne rate aucune sortie des joueurs sur le terrain.

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    Actuel emplacement de l'Oasis, allée d'Iéna

    En 1982, Lucienne Bigou décide de mettre en vente son café. Duralex sed lex : La loi est dure, mais c'est la loi. Une maison de retraite a été bâtie en 1965 à soixante-dix mètres du café. La loi en impose cent... L'Oasis, malgré son antériorité, a vécu. Il sera remplacé par une agence du Crédit Agricole. 

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    La famille Loustau devant le Café de l'Industrie

    Revenons désormais au premier propriétaire du café du Pont d'Artigues. Paul Loustau (1888-1967), après s'être dessaisi de son établissement au profit de Paul Hugonnet, alla s'établir aux Capucins. Il fonda le Café de l'Industrie dans la rue de la rivière et résida avec sa famille, 43 rue des Amidonniers. 

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    L'ancien "Café de l'Industrie", aujourd'hui. 

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