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  • L'insidieux bétonnage du poumon vert de Carcassonne...

    Ah! Quelle était belle ma Cité lorsque je l'apercevais depuis le béal longeant le quartier de la Barbacane, s'écriait tristement une riveraine en 1991. La municipalité faisant fi sûrement de la prescription de la DREAL concernant l'inconstructibilité du périmètre protégé autour de la Cité, venait de délivrer un permis de construire pour l'édification sur deux étages d'une résidence pour personne âgées.

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    La zone en rouge délimite le périmètre inconstructible autour de la Cité.

    (Source: DIREN)

    L'ancien terrain maraîcher, situé en zone inondable, allait bientôt accueillir engins de terrassement, pelleteuse et bétonnières. Cette transformation d'un paysage bucolique en zone constructible avait déjà débuté lors des travaux de mise en sens unique de la rue Barbacane en 1986, par le percement et le goudronnage de la rue Dujardin-Beaumetz. La résidence en question se trouve comprise entre les deux voies...

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    5280 m2 de terrain, 3300 m2 au plancher, 7,5 m de hauteur au sol. Ce sont les dimension de la résidence de 73 chambres pour personnes âgées, livrée en juin 1991. Le bâtiment dessiné en L, s'étend sur 46 mètres dans la rue Barbacane et sur 68 mètres, rue Dujardin-Beaumetz. Le chantier a été confié à une énorme entreprise de travaux publics : La SPIE

    L'architecte de Montpellier indique :

    "Nous avons fait attention à ce que toitures (tuiles vieillies) , crépis extérieurs (couleur étudiée) et tout le reste soit dans le ton. Même philosophie au niveau de la façade qui sera rythmée par de petits éléments faisant sallie."

    L'avis d'un riverain en 1991 :

    "De la route, on voyait bien la Cité. Le 14 juillet, les Carcassonnais s'y pressaient nombreux. Magnifique ! De la Cité, on ne verra plus que la girouette. Et encore..."

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    Voici la résidence aujourd'hui

    Une nouvelle polémique sur la construction d'un parking sur les terrains de l'île agite le landerneau Carcassonnais. Situé sur l'emplacement des 220 millions d'euros d'un Centre de congrés qui ne vit jamais le jour et que les Carcassonnais durent rembourser pendant 20 ans, ce nouveau bétonnage s'attaque à un des derniers poumons verts de la ville.

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    Le jardin extraordinaire présenté à la presse

    Ce projet de M. Larrat a été abandonné par la municipalité Pérez, qui promit d'y faire un jardin extraordinaire en 2009. Faute de crédits ou de volonté, l'idée écologique de Tamara Rivel se perdit peu à peu dans les couloirs sombres du service de l'urbanisme comme Trencavel dans les oubliettes de la Cité. Tant et si bien que M. Larrat, revenu aux affaires de la ville, décide de mettre à exécution son projet de 2008. Moralité ? Verdure contre béton, c'est toujours le dernier nommé qui avance dans Carcassonne depuis plus de 30 ans.

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    © Julien Roche

    Dès cet été, les gaz d'échappement viendront polluer l'air de l'île. C'est paraît-il le prix à payer pour supprimer les véhicules de la place Saint-Gimer. Une meilleure idée aurait été peut-être de créer un parking de délestage hors de la ville, avec des navettes gratuites pour amener les touristes à la Cité. Au Mont Saint-Michel, ils n'en sont pas morts. Et puis, il est impossible là-bas de bâtir sur le sable...

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    © Tous droits réservés/ Musique et patrimoine/ 2015

  • Quand la Cité accueillait une collection de costumes des films d'Hollywood

    À l'époque de l'âge d'or du ciména américain avec leurs célèbres comédies musicales fimées, les Aston Martin et autres Rolls Royce s'arrêtaient à l'Hôtel de Cité ; on voyait alors descendre des berlines rutilantes, James Stewart ou Grace kelly. Je me dis qu'avec un monument aussi unique que la Cité médiévale, nous aurions pu créer un festival du film. On lui aurait peut-être donné le nom d'André Cayatte, ce cinéaste né à Carcassonne et primé d'un Ours à Berlin. 

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    James Stewart à l'Hôtel de la Cité

    L'exposition

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    Au mois de juin 1978, la grande salle des tours Narbonnaises accueillit une exposition de costumes et de mannequins médiévaux. Elle se transforma pour l'occasion en une espèce de Musée Grévin, car plusieurs modèles avaient été conçus avec le visage d'un acteur du cinéma américain. 

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    L'ensemble de cette collection provenait d'un achat de costumes de cinéma qui avaient été acquis par une habitante de la Cité: Mlle Maya Koumany,une danseuse d'origine Russe. Cette dernière les tenait d'un de ses amis Monty M. Berman (1912-2002), le plus grand costumier d'Hollywood. On dit d'ailleurs qu'il serait venu à plusieurs reprises à Carcassonne. Il avait créé les costumes des Canons de Navarrone, de Lawrence d'Arabie, de James Bond. Il avait habillé Katherine Hepburn, Richard Burton, Sean Connery...

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    Des costumes romantiques pour le cinéma

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    Stan Laurel, à gauche...

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    Une fileuse à son rouet

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    Un moine et deux seigneurs

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    Deux enfants

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    Le fou du Roy

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    La cour

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    Les musiciens

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    Le poète

    Jusqu'au milieu des années 1990, une grande salle du Château comtal avait été aménagée pour accueillir ces mannequins. Elle faisait partie du circuit de visite à intérieur des remparts par le musée Pierre Embry. La salle a été ensuite débarrassée de cette espèce de musée Grevin médiéval qui ne gênait personne, sûrement à la demande du Centre des Monuments Nationaux. Les costumes ont été ensuite vendus à Jean-Michel Signoles, patron à cette époque de l'Hôtel de la Cité. C'est Philippe Decaud qui les a accueillis et exposés dans un musée à l'entrée payante, à côté de son bar Le sénéchal. Aujourd'hui, difficile de savoir où ils sont passés, mais selon lui, ils auraient été vus dans un château cathare.

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    © Tous droits réservés/ Musique et patrimoine/ 2014

  • Le festival de la Cité a bientôt 60 ans (Acte VI)

    Jean Deschamps ne sera resté que le temps de la saison estivale 1985 afin d'assurer la transition avec le nouveau directeur, après le décès du regretté Jean Alary. La municipalité choisit de nommer en septembre 1986 le musicien

    Jacques Miquel,

    qui avait oeuvré dans l'ombre aux côtés de Jean Alary et Jean Deschamps. En l'espace de peu de temps, ce Carcassonnais titulaire d'un prix de saxophone du Conservatoire de Toulouse va cumuler plusieurs fonctions : Directeur des deux théâtres (Cité et Municipal), de l'harmonie municipale, de l'école municipale de musique et des Choeurs de Carcassonne. Il est donc chargé d'élaborer la saison culturelle estivale de 1986.

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    Jacques Miquel

    présente le Festival de la Cité

    1986

     

    “Carmen”

     par le Ballet Antonio Gadès, d’après la Nouvelle de Prosper Mérimée et l’Opéra de Georges Bizet,directeur de scène: Dominique You, technicien du son: Ernesto Lapena, assistant de direction: Philippe de Renusson, machiniste: José Luis Paloma, direction: Antonio Gadès. Avec Cristina Hoyos (Carmen), Antonio Gadès (José), Juan A. Jimenez (Marido), Juan Alba (Torero), Carmen Villa, Ana Gavino, Inma Adanez, Juana Gonzalez, Nuria Castejon, Yolanda Gonzalez, Stella Arauzo,  Maria Fernanda, Maria Jose Gavino, Jose A. Benitez, Tauro, Enrique Esteve, Antonio Quintana, Candy Roman. Guitaristes: Antonio Solera, Manuel Rodriguez, Jose Manuel Rodan; chanteurs: Gomez de Jerez, Manolo Sevilla. Grand Théâtre.

     

    “Soirée Mozart”

     avec l’Orchestre de Chambre National de Toulouse, direction José Aquino. Choeurs de Carcassonne, direction Jacques Miquel. Au programme: “Divertimento, K 136 en Ré majeur”; “Concerto pour Clarinette et Orchestre en La majeur KV 622”, soliste: Maurice Gabai, Clarinette solo de l’Orchestre Opéra de Paris; “Messe du Couronnement: KV 317 en Ut majeur pour solistes et choeurs”, avec Nicole Monestier, soprano; Chantal Dubarry, alto; Christian Papis, ténor; Jean-François Gardeil, basse. Basilique Saint-Nazaire.

     

    “La Nuit des Inquisiteurs”

     création de Guy Vassal, mise en scène de Jacques Zabor, par le Théâtre Populaire des Cévennes, paroles et musique du chant “Rome”: Henri Gougaud, décor et costumes: Jean-Denis Vivien, costumes réalisés par Andrée Miquaix, régie générale: Daniel Alayrac, lumière de Thierry Fratissier, composition et illustration sonore: Christophe Martel, régie de scène: Jacques Allouard, administration: Anne Meillon. Avec Roger Cornillac (Bernard Delicieux), Jenny Bellay (L’Armière), Olivier Hamel (Barthélémy), Jean Negroni (L’Inquisiteur), Jacques Zabor (Frère Jean), François Gamard (Le Sénéchal), David Negroni (Eleazar), Marc Baylet (Johan), Pierre Dourlens (Elie Patrice), Philippe de Brugada (Aimeric), Christine Bergerac (La Bourgeoise), Coraly Zahonero (Saurina), Patrick Goutanier (Isar), Eric Chevallier (Le Consul), Guy Vassal( Pecquigny), Patrick Goutanier (Philippe le Bel), Eric Chevallier (L’Infant). Grand Théâtre.

     

    “La Damnation de Faust”

     de Hector Berlioz, 

    par l’Orchestre National du Capitole de Toulouse, direction Michel Plasson. Avec Valérie Hornez (soprano), Alain Vanzo (ténor), Nadine Denize (mezzo), Pierre Thau (baryton), Daniel Ottevaere (basse), les Choeurs de l’Armée Française (direction Serge Zapolsky), les Choeurs du Capitole, le Choeur Régional Midi-Pyrénées, les Choeurs de Carcassonne, de l’Armagnac et du Lauragais. 120 musiciens, 300 choristes. Grand Théâtre.

     

    “Thierry Le Luron”. 

    Grand Théâtre.

     

    “L’Ecole des Femmes”

    Comédie en 5 actes, en vers de Molière, mise en scène de Jacques Sereys, avec Jacques Sereys (Chrysalde, Ami d’Arnolphe), Jean Le Poulain (Arnolphe, autrement M. de la Souche), Hubert Godon (Alain, Paysan, Valet d’Arnolphe), Emmanuelle Bataille (Georgette, Paysanne, Servante d’Arnolphe), Catherine Harnois (Agnès, Jeune Fille Innocente Élevée par Arnolphe), Bernard Belin (Horace, Amant d’Agnès), Philippe Cornuaille (Le Notaire), Yves Berthiau (Enrique, Beau-frère de Chrysalde), Jean Pemeja (Oronte, Père d’Horace et Grand Ami d’Arnolphe), Alain Robert (Régisseur Général), Yves Berthiau (Administrateur). Grand Théâtre.

     

    “Big Band”

    Orchestre National de Jazz, 

    directeur musical: François Jeanneau. 20 musiciens et solistes, sonorisation: Philippe Lemenuel, Olivier Lombroso, Laville Sonorisation. Au programme: Django Reinhard, John Coltrane, Thelonious Monk, Jazz, Opéra... Grand Théâtre.

     

    “Dance Theatre of Harlem”

     fondé par Arthur Mitchell et Karel Shook directeur artistique: Arthur Mitchell directeur musical: Milton Rosenstock. Danseurs: Karen Brown, Lorraine Graves (Maître de Ballet), Carld Jonasssaint, Lowell Smith, Joseph Cipolla, Yvonne Hall, Mélanie Person, Linda Swayze, Derek Williams, Stéphanie Dabney, Charmaine Hunter, Cassandra Phifer, Judy Tyrus, Donald Williams, Julie Felix, Virginia Johnson, Eddie J. Shellman, Augustus Van Heerden, Dean Anderson, Cubie Burke, Joselli Audain, Daurel Davis, Judith Rotardier, Anjali Austin, Elena Dominguez, Theara Ward, Tyrone Brooks, Pierre Lockett et bien d’autres. Au programme “Voluntaries”,Concerto pour Orgue et Orchestre, musique de Francis Poulenc, chorégraphie de Glen Tetley; “L’Oiseau de Feu”, Musique de Igor Stravinski, chorégraphie de John Thras, “Dougla”, musique de Tania Léon, chorégraphie de Geoffroy Holder. Grand Théâtre.

     

    “Dance Theatre of Harlem”. 

    Au programme “Troy Game” chorégraphie de Robert North, musique de Bob Downes; “Quatre Tempéraments”, musique de Hindemith, chorégraphie de Georges Balanchine; “Concerto en Fa”, musique de George Gershwin, chorégraphie Billy Wilson. Grand Théâtre.

     

    “Trio Borodine”

     avec Rostislav Dubinsky (violon), Luba Edlina (piano), Yuli Turovsky (violoncelle). Au programme: “Trio in C minor, opus 101”, de Brahms; “Variations in G, opus 121 A (Kakadu)”, de Beethoven; “Trio in B Flat, opus 99”, de Schubert. Basilique Saint-Nazaire.

     

    “La Dame de Monsoreau”

     Mélodrame de cape et d’épée d’Alexandre Dumas, par la Compagnie Dominique Liquière, mise en scène de Dominique Liquière, décor de Roberto Rosello, administration de Yves Berthiau. Avec Francis Joffo (Chicot), Georges Descrières (Le Roi), Paul Guers (Le Duc), Marcelline Collard (Diane), Dominique Liquière (Bussy), Yves Collignon (Monsoreau), Jean-Baptiste Guyon (Saint-Luc), Lydie Rigaud (Jeanne), Léon Lesacq (Gertrude-Gorenflot), Stéphane Wojtowicz (Quelus-N. David), Emmanuel Dechantre (Antraguet-Bonhomet), Marc Lalo (Epernon-Lorraine), Richard Olivier (Maugiron-La Huriere), Michel Debrane (Meridor), Nicole Hubert (La Duchesse). Grand Théâtre.

     

    “Hubert-Felix Thiéfaine”

    auteur compositeur. Grand Théâtre.

     

    “Le Nouvel Orchestre Philarmonique et les Choeurs de Radio France”

    sous la direction de Marek Janowski. Au programme: “Psaume XIII”, pour Ténor, Choeurs et Orchestre, ténor: David Rendall; “Das Klagende Lied”, de Gustave Mahler, pour solistes, Choeurs et Orchestre en 3 parties, solistes: Teresa Zylis-Gara (soprano), Jadwiga Rappé (mezzo), David Rendall (ténor), Jacek Strauch (baryton). Grand Théâtre.

     

    “Indochine”

     groupe de rock français, avec Dimitri Bodianski, Nicola Sirkis, Stéphane Sirkis, Dominik Nicolas. Grand Théâtre.

     

    “Soirée Vivaldi”

     avec l’Orchestre National de Chambre “Les Virtuoses de Moscou”, dirigé par Vladimir Spivakov. Violoniste: Vladimir Spivakov, soliste: Tamara Sinyavskaya, mezzo-soprano du Théâtre du Bolchoï. Au programme “Concerto pour 2 violons en Ré mineur f4 N° 11 “Stabat Mater””; “Concerto pour 2 violons en La mineur op. 3 N° 8”; “Concerto pour 2 hautbois en Ré mineur op. 11”; “Concerto pour Orchestre en La majeur f11 N° 4”. Basilique Saint-Nazaire.

     

    “Chantecler”

     Fable dramatique en 4 actes, en vers, d’Edmond Rostand, adaptation et mise en scène de Jean-Luc Tardieu, assistante à la mise en scène: Joëlle Vautier, décorateur: Jean-Denis Malclès, costumes: Christian Lacroix et Sylvie Skinazi, réalisés sous la direction de Michel Bazin, lumières de Jacques Rouveyrollis, assisté de Georges Granier, musique originale: Gérard Calvi, interprétée par Jean-Pierre Wallez (violon), Gérard Calvi (piano), Gilles Beloin ou Lionel Lezan (percussions), combat de coqs réglé par Bertrand Guilloux, Equipe technique: Georges Granier, Guy Delaroche, Olivier Matabon, Loïc Kerdraon, Laurent Etourngau, Valérie Migne. Avec Michel Le Royer (Chantecler), Caroline Sihol (La Belle Faisanne), Jean-Paul Farré (Le Merle Moqueur), Robert Murzeau (Le Chien Patou), Gisèle Touret (La Pintade), Annette Poivre (La Vieille Poule), Joëlle Vautier (Le Rossignol), Jean Danet (Le Paon), Thierry Murzeau (Briffaut, Le Pile Blanc, Le Grand Duc, Un Crapaud), Gilbert Guillaud (Le Coq, Le Pivert, Le Petit Scops, Le Coq de Padoue), Christine Peyssens (La Dinde), Gérald Cesbron (Le Dindon, Le Crapaud), Bruno Bastard (Le Pintadeau), Béatrice Michel (La Poule Grise), Brigitte Winstel (La Poule Blanche, L’Oie), Hélène Perron (La Poule Noire, La Lapine), Pascal Dhombres (La Poule de Houdan), Sylvie Delaroche (La Poule Beige), Benoît Guibert (Un Jeune Coq, Un Oiseau de Nuit, Un Crapaud), Olivier Lusson (Un  Jeune Coq, Un Oiseau de Nuit, Un Crapaud, Le Coq de Braekel), François Clamart (Un Jeune Coq, Un Oiseau de Nuit, Un Crapaud, Le Coq de Burmah), Georges Téran (Le Canard, Un Oiseau de Nuit, Le Coq de Padoue, Un Crapaud), Olivier Horeau (Le Chat, Un Crapaud), Christophe Blain (L’Huissier Pie, Un Oiseau de Nuit, Un Crapaud), Stéphane Péraud (Le Coq Wyandotte, L’Oiseau de Nuit), Jean-Yves Tual (Le Coq de Gueldre), Le Petit Benjamin (Le Poussin, Le Petit Lapin). 

     

    “Ballet National d’Espagne”

     direction Maria de Avila, danseur Etoile: Jose Antonio, premières ballerines: Conchita Cerezo, Ana Gonzalez, Maribel Gallardo, Lola Greco, Aida Gomez, Cristina Hernando; premiers danseurs: Javier Latorre et Juan Mata, danseuse de caractère: Victoria Eugenia, soliste de caractère: Paco Morell; solistes: Adelaida Calvin, Lupe Gomez, Antonio Marquez, Motserrat Marin; et tout le Corps de Ballet. Artiste invité: Merche Esmeralda, adjoint à la Direction: Jose Antonio; Maître de Ballet: Conchita Cerezo, Ana Baselga, Juan Mata, Victoria Eugenia, Felipe Sanchez, Martin Vargas; Chef d’orchestre: Jorge Rubio, Chanteurs: Manuel Palacin et Juan José de Alcala, guitaristes: Luis Carmona “Habichuela” et Jose Maria Banderas; pianistes Katia Gurska, Ramon Ricote, Adela Mascaraque; intendant: Carlos Valverde; chef de la production: Luis Roberto Zafra, producteur adjoint: Jesus Avila. Au programme: “Danza y Tronio”, chorégraphie: Marienma, musique: Fray Antonio Soler, Luigi Bocherini, Anton Garcia Abril, costumes: Juan Gutierrez Reynolds et Peris Hermanos; “Alborada del Gracioso”, chorégraphie de Jose Granero, musique de Maurice Ravel, soliste: Jose Antonio, costumes: Pin Morales et Roman Arango, réalisation des costumes: Gonzalez et Juanita Muro, bottier: Casimiro; “Medea”, chorégraphie de Jose Granero, musique de Manolo Sanlucar, costumes et texte de Michel Narros, décors d’Andrea d’Odorico, réalisation des costumes: Peris Hermanos et Toni Benitez, bottier: Casimiro. Avec Ana Gonzalez (Médée), Victoria Eugenia (Nodriza), Maribel Gallardo (Creusa), Jose Antonio (Jason), Juan Mata (Créon).  Grand Théâtre.

     

    1987

    “La Chanson de la Croisade des Albigeois”

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    Guy Vassal

    © Christophe Barreau

    création, texte et mise en scène de Guy Vassal, assistant de mise en scène: Olivier Hamel, décors et costumes: Jean-Denis Vivien. Avec Guy Vassal (Le Parfait), Pierre Dourlens (Premier Troubadour), Bernard Meulien (Deuxième Troubadour), Gabrielle Forest (Saurina), François Gamard (Gaucelm), Jean Gosselin (Le Prêtre), Olivier Hamel (Johan), Pierre Dourlens (Trencavel), Jean-Pierre Laurent (Bouchard de Marly), Roger Cornillac (Guy de Lévis), André Cellier (Simon de Montfort), Jacques Zabor (Arnaud Amaury), Patrick Deshais (Raymond VI), Jean Gosselin (Pierre Roger de Cabaret), Christine Bergerac (Ferranda), les comédiens de l’Atelier Théâtre du Rempart et les musiciens de la Compagnie Médiévale. Combats réglés par Roger Cornillac. Illustration sonore et musique: Christophe Martel. Grand Théâtre.

      

    “Orchestre de Chambre National de Toulouse”

     

    direction: José Aquino, avec le Choeur Régional Midi-Pyrénées et les Choeurs de Carcassonne (direction Jacques Miquel). Soliste Jo Alfidi (piano). Au programme: 1° partie “Sérénade Viennoise N° 4”, de W.A. Mozart; “Concerto K 595 en Si Bémol Majeur pour piano et orchestre”, de W.A. Mozart; 2° partie “Messe de Saint-Nicolas pour soliste, choeur et orchestre”, de J. Haydn; “Fantaisie Opus 80 pour piano, soliste choeur et orchestre”, de L. Beethoven. Basilique Saint-Nazaire.

      

    “Le Fou d’Yrnel”

     de Guy Vassal,

      mise en scène de Roger Cornillac, assistant: Marc Baylet, décors et costumes de Jean-Denis Vivien, illustration sonore et musique de Christophe Martel. Avec André Cellier (Charles Peyrac), Françoise Rigal (Marianne), Bernard Meulien (André), Christine Bergerac (Louise), Claude Ostrowsky (Joseph), Jenny Bellay (Marinette), Virginie Verrières (Cécile), Marc Baylet (Julien), Jean Gosselin (Docteur Joulia), Jean-Pierre Laurent (Alphonse Blédur), François Gamard (Le Moine). Grand Théâtre.

     

    “I Musici de Prague”

    direction Milan Vymer, solistes Maxence Larrieu (flûte) et Sylvia Schmid (soprano). Au programme: “Sinfonie G. Dur (majeur)”, de Vivaldi; Cantate BWV 209 “Non sa che sia Dolore”, de J.S. Bach; “Divertimento K.V. en Ré Majeur”, de Mozart; “Concerto pour flûte”, de Vivaldi (Basilique Saint-Nazaire).

     

    “Bernard Lavilliers: Feu Sacré” 

     Grand Théâtre.

     

    “Orchestre National du Capitole de Toulouse”

     direction Michel Plasson, solistes: Maurice André et Bernard Soustrot. Au programme: “Concerto en Ut Majeur pour 2 trompettes”, d’Albinoni, “Concerto en Mi b”, de Hummel, “Concerto en Ré Majeur”, d’après l’original pour violon, de Tartini, “Symphonie Fantastique”, de Berlioz (Grand Théâtre).

     

    “Dizzy Gillepsie and his 70Th Anniversary Big Band”

      21 musiciens 

     (Grand Théâtre).

     

    “Ballets de l’Opéra de Vienne”

     direction Dr Gerhard Brunner, maître de ballet Gerlinde Dill, organisation: Teletheater. Au programme: “Kettentanz” (La chaîne), chorégraphie de Gérald Arpino, musique de Johann Strauss père et Johann Mayer, costumes Joe Eula, direction Karl Sollak; “Sinfonie in D” (Symphonie en Ré), chorégraphie de Jiri Kylian, musique de Joseph Haydn, Hob. I/101 et I/73, costumes de Thomas Schenk, direction Erich Binder; “Bilder aus Wien” (Impression de Vienne), chorégraphie de Gerlinde Dill, musique de Joseph Strauss et Johann Strauss père et fils, costumes: Alice Maria Schlesinger, direction Caspar Richter (Grand Théâtre).

     

    “Orchestre Symphonique d’État d’U.R.S.S.”

      direction Eugeni Svetlanov.Solistes: Eugueni Kissine (piano), Vadim Riepin (violon). Au programme: Ouverture “Russlan et Ludmilla” de Mikhail Glinka; “Concerto pour piano N° 1 en Si Bémol Mineur”, de P.I. Tchaïkovski; “Concerto pour violon N° 2 en Mi Mineur op. 64”, de Félix Mendelssohn; “Tableaux d’une Exposition”, de Modeste Moussorgski. 120 musiciens (Grand Théâtre).

      

    “La Nuit des Rois”

      de William Shakespeare, mise en scène de Dominique Liquière, décors et costumes de Roberto Rosello, assistant de mise en scène: Johnny David. Avec Jean Le Poulain (Malvolio), Anna Aor (Olivia), Arlette Didier (Maria), Laure Sabardin (Viola), Francis Joffo (Fester), Jean-Noël Sissia (Duc Orsino), Dominique Liquière (Sébastien), Gaston Vacchia (Sir Tobie Belch), Jacques Ciron (Sir André Aguecheek), Bernard Belin (Fabien), Pierre-Louis Saussereau (Valentin), Laurent Blanchard (Curio), Johnny David (Capitaine et Antonio). Grand Théâtre.

      

    “Antologia de la Zarzuela”

      par le Théâtre National Musical d’Espagne, direction José Tamayo. Avec l’Orchestre de Chambre Lyrique de Madrid, directeur musical Manuel Moreno-Buendia et le Choeur de l’Université Polytechnique de Madrid, directeur: José de Felipe. Solistes: Josephina Arregui (soprano), Mary Carmen Ramirez (soprano), Efren Puig (ténor), Antonio Ramallo (baryton), Maria del Sol (danseuse), Mario Lavega (danseur). Grand Théâtre.

     

    “Gloire et Mort de Marcelin Albert”

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    de Maître Claude Cals, 

     mise en scène de Pierre Baux et Jean-Luc Borras sur une musique de Jean-Louis Cortes. Avec: Jean Davy (Marcelin), Laurence Jeanneret (Guirauda), Pierre Baux (Le Journaliste), Jean-Luc Borras (Félix). Création picturale: Jean Camberoque

     

    Note du blog

    Dernièrement Monsieur Jean-Louis Bès, adjoint à la culture, est allé présenter en conférence de presse l'édition du Festival de Carcassonne 2015 à l'hôtel de Sully à Paris (Centre des Monuments Nationaux). Nous ignorons comment cet homme cultivé a fait passer devant les journalistes nationaux, le dossier de presse municipal indiquant que le Festival de Carcassonne a dix ans d'existence. A t-il dû justifier le logo présent sur les affiches ?

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    Il y a des couleuvres difficile à ingérer quand on est un homme à l'honnêteté intellectuelle érigée en valeur et que l'on sait que c'est inexact. Espérons seulement que telle méprise ou ambiguité n'est pas parvenue jusqu'à Madame Michèle Deschamps, veuve du fondateur du Festival de Carcassonne...

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