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  • La fiancée des ténèbres : un film tourné à la Cité de Carcassonne

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    La fiancée des ténèbres

    est un film de Serge de Poligny, tourné dans la Cité de Carcassonne en 1944. Le scénario a été écrit par Gaston Bonheur, un journaliste et écrivain né à Belvianes dans l'Aude.

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    Serge de Poligny pendant le tournage

    © Gaumont

    Argument

    Sylvie est convaincue de sa malédiction et mène une vie sans espoir dans la sombre demeure de son adoptif, à Carcassonne. Un jour, elle rencontre Roland, un jeune compositeur de musique, et décide de fuir avec lui. Mais son père, à la recherche du secret des Cathares, la persuade de renoncer au monde pour retrouver, dans les souterrains, le sanctuaire des Albigeois.

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    La première scène se passe sur le Pont vieux

    Distribution

    Pierre Richard-Wilm (Roland), Jany Holt (Sylvie), Edouard Delmont (M. Toulzac), Line Noro (Mlle Perdrières), Simone Valère (Dominique Samblanca)...etc.

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    Gaston Bonheur, Jany Holt, Pierre Richard-Wilm

    Analyse

    Il existe dans l'histoire du cinéma français un film, unanimement considéré aujourd'hui comme le premier et le seul d'inspiration Cathare. Accueilli, lors de sa sortie, par des ricanements dans une incompréhension quasi générale, à cause de la complexité labyrinthique d'un scénario chargé de références culturelles ; admiré pour la perfection formelle de ses images, La fiancée des ténèbres surprend aujourd'hui et fascine les jeunes générations de spectateurs plus informées des problèmes de l'irrationnel et plus sensibles aussi à un discours qui rompt avec les conventions trop littéraires du cinéma des années 30.

    (Les cahiers de la cinémathèque / Hiver 1975/ N°16) 

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    Interview de Gaston Bonheur

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    Pierre Richard-Wilm dans les lices

    Le scénario de La fiancée des ténèbres est adapté d'une nouvelle que j'avais publiée en 1943, dans l'édition de Paris-soir Toulouse : La mort ne reçoit que sur rendez-vous. J'avais trente ans, ce qui peut expliquer un peu de ce délire romantico-philosophique et j'avais aussi, depuis longtemps, terminé mes propres études de philosophie à Paris. Il faut, peut-être, préciser pour mieux comprendre les intentions de mon texte, que j'étais monté à Paris comme "investi" d'une mission par mes maîtres Joë Bousquet et Estève, mon professeur de terminale : j'aurais dû devenir philosophe ; je suis devenu homme de lettres et c'est Alquié [Ferdinand Alquié, NDLR] qui a pris ma place.

    En arrivant à Paris j'avais  de nombreuses lettres de recommandation auprès de Germaine Dulac, Abel Gance et même Jean Renoir pour qui j'ai même commencé à écrire un scénario sur Le blé et qui aurait dû être tourné à Chartres. C'était une époque où l'on voyait dans le cinéma une forme d'expression qui prolongeait la littérature ; où nous pensions que le fin du fin c'était un cinéma qui tiendrait ses lettres de noblesse de la littérature. Après la défaite de 1940 c'est donc tout naturellement que j'ai participé en zone sud, aux activités cinématographiques de la Côte d'azur avec les frères Prévert et mon ami Marc Allégret, entre autres. De Pâques 1941 à juin 42, j'ai travaillé aux films Impéria.

    C'est dans ce climat que j'ai donc pour l'édition toulousaine de Paris-Soir, dont le rédacteur était René Maine, écrit cette courte nouvelle qui devait retenir l'attention du producteur François Chavannes et celui qui allait devenir mon ami, Serge de Poligny. Il y a eu aussi Jean Anouilh, qui a écrit la scène d'amour sur les remparts ; une scène un peu plaquée, mais qui servit surtout à justifier un salaire.

    Le film est un peu le résultat de deux groupes, des Méridionnaux qui voulaient faire passer quelque chose ; et des parisiens dont la connaissance des goûts du public permettaient de mettre en images, dans un style qui avait fait ses preuves selon les conventions romanesques du moment.

    Pour ce qui est du climat de la vie quotidienne, je m'étais inspiré de faits précis et de personnages réels que je connaissais. C'est ainsi que Charpin représente mon bon maître François-Paul Alibert dans sa faconde joviale. Delmont, immobilisé sur sa voiture d'infirme, recouvert de sa longue cape, représente Joë Bousquet. Avec un peu de Déodat Roché qui, lorsque je l'ai connu en 1930, se prétendait le dernier évêque cathare...

    En partant de l'aventure vécue par le héros comme une épreuve pour atteindre la purification, on peut interpréter l'histoire comme la représentation symbolique d'un itinéraire vers la perfection. Le trésir enfoui sous la Cité serait le Saint-Graal... Et la fête à Tournebelle, le Paraclet... J'avais conçu La fiancée des ténèbres comme un opéra, aux implications ésotériques rigoureuses. En ce sens l'apport fondamental a été celui de Manuel Mirouze qui écrit pour le film une partition très élaborée, éditée sous le titre de Symphonie Albigeoise. [L'air de la chanson occitane "Lo Boier" est reprise dans la musique du film. NDLR]

    Originaire de Toulouse, Marcel Mirouze qui a ensuite dirigé pendant de longues années l'orchestre de Monte-Carlo était parfaitement au courant de mes intentions.

    Aviez-vous connaissance à cette époque, de l'intérêt porté en Allemagne non seulement à la quête du Graal, mais à certaines spéculations qui voyaoent en Montéségur le Fontsalvage de la tradition, et surtout de certaines conceptions ou interprétations wagnériennes, voire nietzchéennes, de la pensée cathare ?

    Bien sûr,  nous connaissions les livre d'Otto Rahn (La croisade contre le Graal) ; mais la littérature sur le catharisme était en ce temps-là, assez rare. Les cahiers du sud avaient pourtant réalisé en 1942, un numéro sur l'occitanie et la pensée cathare. René Nelli y avait collaboré ; mais c'est à peu près ce dont on disposait en France. Par contre, j'ai une anecdocte de tournage du film qui va dans le sens de votre question. Au moment de la réalisation, la Cité de Carcassonne était sous contrôle de l'armée d'occupation, et nous étions en rapport constant avec les officiers. Je me souviens fort bien de l'un d'entre-eux  qui avait installé son bureau dans une des grandes salles et qui avait devant lui une statuette de Trencavel dont il prétendait s'attribuer la fière devise : "Mon épée pour la veuve, mon bouclier pour l'orphelin". Il était persuadé que le combat de la Wehrmacht vengeait les victimes de Simon de Montfort... Ceci dit le tournage du film s'est parfois déroulé sous leur contrôle, mais pour des raisons de sécurité uniquement. C'est ainsi par exemple que pour la scène du drame passionnel sur la péniche, c'est un officier allemand qui a tiré le coup de révolver pour l'enregistrement du son.

    Nous étions dans un climat intellectuel profondément influencé par le surréalisme, et toutes ces idées d'un romantisme plus contemporain, nous hantaient. Malheureusement, le tournage a été interrompu pendant la Libération et les scènes de la fête à Tournebelle ne sont pas ce qu'elles auraient dû être. Pour moi, elles devaient se dérouler près de Gruissan, au vrai Tournebelle.

    Figurants célèbres

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    Durant la scène du bal filmée à l'ancienne guinguette "Le Grougnou", près de l'écluse du Fresquel, on remaquera la présence devant la caméra du peintre Jean Camberoque et de son épouse.

    En DVD

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    Depuis le mois dernier, Gaumont vient de sortir ce film en DVD au prix de 12€90. Vous pouvez vous le procurer chez Leclerc ou chez Cultura à Carcassonne.

    Merci à Noël Pagé pour son aide

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    © Tous droits réservés/ Musique et patrimoine/ 2015

  • Le Festival de la Cité a bientôt 60 ans (Acte I, dernière scène)

    1972

    “Hommage au Cinéma Italien”

     avec le concours de la cinémathèque de Toulouse

    (Théâtre Municipal)

     

    “Les Justes”

    d’Albert Camus,

    mise en scène de Jean Deschamps.

    Avec Jean-Marie Fertey

     (Ivan Kaliayev), Pierre Hatet (Stepan Fedorov), André Thorent (Boris Annenkov), François Robert (Alexis Voinov), Jacques Ferriere (Skouratov), Guy Saint-Jean (Foka), Maryvonne Schiltz (Dora Doulebov), Hélène Vallier (La Grande Duchesse). Un Gardien. (Cour du Midi)

     

    “Auguste, Auguste, Auguste”

     de Pavel Kohout, 

    adaptation de Philippe Adrien,

    mise en scène de Gabriel Garran

    assisté de Henri Delmas et de Christine Mandouze, collaboration technique de Little Walter, décors et costumes de Christine Laurent assistée de Françoise Sureau, thèmes musicaux de Jean F. Fischer (création de Prague) et de Raphaël Biondi. Avec Armand Meffre (Hippolyte Beaubidon, directeur), Jacques Canselier (Auguste Auguste, Auguste), Gaston Vacchia (Monsieur Loyal), Guyette Lyr (Lulu), Claude Bouchery (Bouboule Bouboule, Bouboule), Amélie Prévost (Evelyne Beaubidon, fille du directeur), Jean-Pierre Rambal (Auguste junior), Little Walter (Le Chef d’Orchestre), Raphaël Biondi, Oswald Petrazzoli et Paul Sans (Les Musiciens), Henri Delmas (Le Régisseur). Garçons de Piste. (Cloître Saint-Nazaire).

     

    “La Femme et son Ombre”

    d’après Paul Claudel.

    Introduction: sur le Nô en général,

     commentaire des pièces: Tarô Kimura, adaptation et paroles: Tarô Kimura, musique et chorégraphie: Yoshio Izumi. Avec Yoshio Izumi (Shité, l’Ombre), Yasutaka Izumi (Tsuré, La Femme), Minoru Hashimoto (Waki, Le Guerrier). Après l’entr’acte: extrait d’une pièce de  Nô:  “Outo”, avec Yoshio Izumi. Théâtre Nô (Cour du Midi).

     

    “La Mégère Apprivoisée”

     de William Shakespeare,

     adaptation et mise en scène de André Thorent, décors et costumes de Camillo Osorovitz, costumes réalisés par Mine Barral- Vergeze, arrangements et direction musicale de Raphaël Biondi. Avec Maryvonne Schiltz (Catharina, valeureux combattant), Pierre Hatet (Petrucchio, valeureux combattant); André Thorent (Biondello), Jacques Ferriere (Grumio), François Robert (Tranio), Henri Delmas (Curtis), Guy Saint-Jean (Nathaniel), Guyette Lyr (Tire-Bouchon), Claude Bouchery (Sucre d’Orge), ces 7 derniers personnages étant des valets par ordre d’imbécilité décroissante; Gaston Vacchia (Baptista), Claude Bouchery (Vincentio), Henri Delmas (Le Pédagogue), ces 3 derniers personnages étant les Pères (véritables ou supposés tels); Jean-Pierre Rambal (Hortensio, prétendant sans espoir), Armand Meffre (Gremio, prétendant sans espoir), Guyette Lyr (Cardona, La Veuve revêche), Guy Saint-Jean (Sartino, le Tailleur précieux). Les Musiciens: Raphaël Biondi (piano), Little Walter (trompette), Oswald Petrazzoli (violon), Paul Sams (percussion). Les Comparses: 1° valet de Baptista, 2° valet de Baptista, 1° Officier de Police, 2° Officier de Police, Le Valet bègue: les mêmes. Grand Théâtre.

     

    “Fracasse”

    de Serge Ganzl d’après Théophile Gautier,

    mise en scène de Marcel Maréchal,

     Bernard Ballet et Raoul Billerey, décors de Jacques Angeniol, costumes et masques de Matias, rélisation de Nicole Bize et Molotkoff, combats: Raoul Billerey, montage sonore de Bernard Ballet, réalisation Denis Blanc-Bernard. Réalisation technique du Cothurne sous la direction de Patrick Ballet et André Vigouroux, avec la collaboration des techniciens du Théâtre du Huitième. Avec Jean-Claude Drouot (Sigognac, puis Fracasse), Christine Fersen, de la Comédie-Française  (Isabelle), Sophie Jeney (Serafina), Jean-Jacques Lagarde (Matamore), Bernard Ballet (Scapin), Marie-Hélène Leschiera (Soeur Martine). Tous ces personnages jouent les rôles des Comédiens. Luce Melite (Yolande, Comtesse de Foix), Raoul Billerey (Duc de Vallombreuse), Guy Delorme (Prince de Vallombreuse), Jean-Jacques Lagarde (Monsieur Frère du Roi), José Gagnol (Comte de Granville), Nicolas Pignon (Le Gouverneur de Niort), Alain Crassas (Surintendant Seguier de Rouen), Jacques Brecourt (Le Cardinal de Richelieu), José Gagnol (Le Roi Louis XIII),  Guy Fox (Un Seigneur), Nicolas Pignon (Surintendant du Roi). Tous ces personnages jouent le rôle des Nobles. Alain Crassas (Belzébuth), Gilbert Guillaud (Miraut), José Gagnol, Nicola Pignon et Marie-Hélène Leschiera (Les Loups). Tous ces personnages jouent le rôle des Chimères de Fracasse. Sonia Tanauji (Chiquita), Jacques Angeniol (Agostin), Philippe Bianco (Lampourde). Tous ces personnnages jouent le rôle des Spadassins. Guy Delorme (1° Rose, Guy Fox (2° Rose), Jacques Brecourt (3° Rose), Rico Lopez (4° Rose), Antoie Baud (5° Rose) Alain Crassas (6° Rose). Tous ces personnages jouent le rôle des “Rose-Noire”. Jacques Angeniol (Jean Va-nu-pieds), José Gagnol, Alain Crassas, Nicolas Pignon, Sonia Tanauji, Gilbert Guillaud (Les Va-nu-pieds). Tous ces personnages jouent le rôle des Révoltés. Philippe Bianco (Pierre), Gilbert Guillaud (Robert), Alain Crassas (Foutriquet, Un Inquisiteur, Un Paysan, Un Page, Un Valet), Jacques Angeniol (Un Inquisiteur), Marie-Hélène Leschiera (Une Paysanne, Une Femme du Peuple), Philippe Bianco (Un Paysan), José Gagnol (Goujefolle, Un Courtisan, Un Paysan, Un Valet), Nicolas Pignon (L’Officier des Gardes Rouges, Un Paysan, Un Valet, Un Noble, Le Passant), Gilbert Guillaud (Un Paysan, Un Chirurgien, Un Noble), Rico Lopez (Le Curé), Henri Valette (Le Valet d’Isabelle), Guy Delorme, Guy Fox et Rico Lopez (Les Espagnols). Tous ces personnages jouent les rôles des Valets, du Peuple, de La Foule, Du Clergé, des Soldats, des Officiers etc... et les cascadeurs de Raoul Billerey (Grand Théâtre).

     

    “L’Annonce faite à Marie”

    de Paul Claudel,

    mise en scène de Hubert Gignoux, éléments scéniques de William Underdown, costumes de Maryvonne Schiltz. Avec Nicole Jamet (Violaine), Nita Klein (Mara), Françoise Bertin (La Mère), Hubert Gignoux (Anne Vercors), Jacques Roux (Jacques Hury), Daniel Sarky (Pierre de Craon), Gilbert Vilhon (Le Maire), Bernard Koltes (Un Ouvrier), Jacques Pieiller (L’Apprenti), Gérard Pichon (Un Paysan), Robert Lucibello (Un Homme), Andrée Kermarec (Une Femme). Cour du Midi.

    Festival

    “Récital Gyorgy Cziffra”

     Au programme: 6 études (Opus 25 N° 1; Opus 10 N° 5; Opus 10 N° 12; Opus 10 N° 3; Opus 10 N° 10; Opus 10 N° 4) et 3 valses (en Ut Dièze Mineur; en Ré Bémol Majeur et en La Mineur), de Chopin; “Valse Impromptu”; “Rêve d’Amour (Nocturne N° 3)”; “Ronde des Lutins (Étude de Concert)”; “Etude transcendante N° 10 en Fa Majeur (dite: Appasionnata)”; et “2° Rhapsodie Hongroise”, de Liszt.

     

    “Récital Hepzibah et Yehudi Menuhin”.

     Au programme: “Sonate N° 2 en La Majeur”, de Beethoven; “Partita en Ré Mineur pour violon seul”, de Jean-Sébastien Bach; “Sonate”, de Debussy; “Sonate “Le Printemps”, de Beethoven.

     

    1973

    “Xochipilli”

    Ballet National Mexicain. 50 artistes, 500 costumes.

     

    Duo de piano “Billard-Azaïs”

    Au programme: Mozart, Brahms, Poulenc, Debussy, Milhaud.

      

    “Mikis Theodorakis et son orchestre”

    avec Maria Farantouri, Petros Pandis, Afroditi Manou, Yannis Didilis.

     

    “London Festival Ballet”

     avec l’Orchestre National du Capitole de Toulouse (dix ballets),

     direction artistique: Beryl Grey. 90 danseurs. “La Somnambule”, musique de Rieti-Bellini, chorégraphie de George Balanchine; “Tchaïkovsky - Pas de Deux”, musique de Tchaïkovsky, chorégraphie de George Balanchine; “Webern Opus 5”, musique de Webern, chorégraphie de Maurice Béjart; “Le Corsaire” (Pas de Deux), Musique de Drigo, chorégraphie de Klavin; “Etudes”, musique de Riisager/Czerny, chorégraphie de Harald Lander.

     

    “Le Lac des Cygnes”

     par le London Festival Ballet avec l’Orchestre National du Capitole de Toulouse. 

    Ballet en quatre actes de Tchaïkovsky, chorégraphie et production de Beryl Grey, d’après Petipa et Ivanoff. Costumes de John Truscott. Interprété par Galina Samsova et André Prokovsky.

     

    “Le Médecin Volant”

    de Molière, 

    mise en scène de Francis Perrin, décors et costumes de

     Jacques Marillier.

     

    “Les Fourberies de Scapin”

     de Molière, 

    mise en scène de Jacques Echantillon, décors et costumes de Pace.

    René Camoin, Paule Noëlle et Alain Pralon, Sociétaires de la Comédie-Française; ClaireVernet, Marcel Tristani, Catherine Salviat, Virginie Pradal, Gérard Caillaud, GeorgesAudoubert, Francis Perrin, André Dussolier et Bernard Alane, Pensionnaires de la Comédie-Française (Sous chapiteau, dans les lices de la Cité).

     

    “Les Vilains”

    d’André Gille d’après Ruzzante. 

    Mise en scène de Jacques Echantillon. Avec André Gille, Jacques Echantillon, Françe Dary.

     

    “Récital Sviatoslav Richter”

    pianiste Soviétique.

     

    “Don Quichotte”

    création de Serge Ganzl, d’après Cervantès.

     Mise en scène de Gabriel Garran, décors et costumes de Hortense Guillemard, musique originale de François Rabbath. Avec Rufus (Don Quichotte), Pierre Santini (Sancho), et 30 comédiens.

     

    “Yehudi et Hephzibah Menuhin”

     Au progamme: Brahms, Bach, Beethoven.

     
    1974 

    Festival

    Suzanne Sarroca est née à Carcassonne en 1927

     

    “La Tosca”

    Opéra en 3 actes,

     d’après le drame de Victorien Sardou, livret de Giacosa et Luigi Illica,

     musique de Giacomo Puccini, mise en scène de Jacques Doucet.

     Avec Suzanne Sarroca (Floria Tosca), Guy Chauvet (Mario Cavaradossi), Henry Peyrottes (Baron Scarpia), Jean Brun (Angelotti), François Gatto (Spoletta), Henry Amiel (Le Sacristain), France Prince (Sciarrone), Gérard Blatt (Le Geôlier), Maïté Techene (Le Pâtre). Orchestre du Capitole de Toulouse, dirigé par Michel Plasson. Chef Décorateur: Claude Drogrez, Chef des Choeurs: Guy Lhomme, Chef Luminariste: J.C. Sans; Chef Machiniste: J. Larripa, Régie: F. Prince et R. Armond.

     

    “Galilée” 

    de Bertolt Brecht, 

    texte français de Armand Jacob et Edouard Pfrimmer,

     musique de Hans Eisler, 

    mise en scène de Jean-Paul Cathala, Jean Favarel, Lise Granvel, Maurice Sarrazin, décors

     et costumes de Patrice Cauchetier, décor et accessoires réalisés dans les Ateliers du Grenier de Toulouse sous la direction de Jean Juillac, costumes réalisés par Colette de Roy-Victor, éclairages de Michel Duverger, régie générale: Jacques Diwoux, musique enregistrée par Jean-Pierre Tiberge (flûte), Armand Medous (clarinette), Solange Courgaigt (clavecin), chanteuses: Françoise Gayral, Monique Comte, Yvonne Dalou, au Studio Condorcet, sous la direction de Georges Armand. Avec Maurice Sarrazin (Galiléo Galilei), Dominique Lagier (Andrea Sarti, enfant), Lise Granvel (Madame Sati, gouvernante de Galiléo, mère d’Andréa), Jean-François Pujol (Ludovico Marsili, jeune homme riche), René Gouzenne (Monsieur Priuli, curateur de l’Université de Padoue), Jean Favarel (Sagredo, ami de Galilée), Micheline collaborateur de Galilée), Michel Oster (Le Doge), Louis Granville, Claude Marcan, Jacques Cavanhac, Gilbert Boccara (Les membres du Conseil), André Fuentes (Cosimo de Medicis, Grand-Duc de Florence, enfant), Albert Hassert (Le Maréchal de Palais), Marcel Gaubert (Le Théologien), Jean-Claude Bastos (Le Philosophe), Pierre Jordini (Le Mathématicien), Jacqueline Benoit (L’Aînée des Dames d’Honneur), Agnès Montegut (La Jeune Dame d’Honneur), René Gouzenne (Premier Savant), Jean-Claude Bastos (Deuxième Savant), Christian Teyras (Premier Moine), Patrice Beauséjour (Deuxième Moine), Jacques Cavanhac (Le Gros Prélat), Pierre Jordini (L’Astronome), Michel Oster (Le Moine très Maigre), Albert Hassert (Le Vieux Cardinal), Jean Favarel (Le Père Christophe Clavius, astronome), Gilbert Boccara (Le Jeune Moine), Louis Granville (La Cardinal Grand Inquisiteur), Jacques Cavanhac (Le Cardinal Barberini, qui deviendra le Secrétaire),  Patrice Beauséjour (Deuxième Secrétaire), Jean-Claude Bastos (Andrea Sarti, adulte), Patrice Beauséjour (Philippo Mucius, savant), Jean Favarel (Le Chanteur Ambulant), Jacqueline Benoit (Sa Femme), Claude Marcan (Vanni, patron de fonderie), Patrice Beauséjour (Un Huissier), René Gouzenne (Un Haut Dignitaire), Christian Teyras (Un Individu), Gilbert Boccara (Casimo de Medicis, Grand-Duc de Florence, adulte), Marcel Gaubert (Un Moine), Agnès Montegut (Une Paysanne), Jean-Claude Credot (Un Homme du Peuple).

     

    “Gheorghe Zamfir”

    accompagné de Pantelimon Stinga, Efta Botoca, Petru Vidrean, Marin Chisar, Ion Mihaescu,

     Dorin Guibaru.

     

    “Cziffra”

    Au programme: Chopin “Fantaisie en Fa Mineur”, “Étude en La Bémol Majeur op. 25 N° 1”;

     “Étude en La Bémol op. 10 N° 10”; “Étude en Mi Majeur op. 10 N° 3”; “Étude en Sol Bémol

     Majeur op. 10 N° 5”; “Étude en Ut Dièze Mineur op. 10 N° 4”; “Fantaisie Impromptue”;

     “Impromptu en Fa Dièze Majeur N° 2”; “Polonaise en Ut Mineur”; “Polonaise en La Bémol

     Majeur”. Ravel “Sonatine”; Ravel “Jeux d’eaux”; Liszt “Ballade en Si Mineur”; Paganini “La

     Campanella”.

     

    “Claude Marti”

    accompagné par Michel Sauret, Robert Rivals, Roger Alonzo et André Malacan.

    Cour du Midi.

     

    “Galilée”

    de Bertolt Brecht, 

    mise en scène et interprétation du Grenier de Toulouse.

     

    “Othello”

    de William Shakespeare,

     texte Français de Jean Vauthier, 

    mise en scène Jean Deschamps, scénographie, costumes, décor sonore: atelier du Théâtre du Midi. Avec: Jean Deschamps (Othello), Serge Erich (Iago), Jean Favarel (Cassio), Gilbert Boccara (Roderigo), Claude Marcan (Brabantio), Albert Hassert (Le Doge), Robert Bousquet (Montano), Louis Granville (Gratiano), Jacques Cavanhac (Ludovico), Jean-Claude Bastos (Le Bouffon), Marcel Gaubert (1° Gentilhomme), Jean-François Pujol (2° Gentilhomme), Pierre Jordini (Le Sénateur), Alain Frerot (Le Hérault), Maryvonne Schiltz (Desdemone), Lise Granvel (Emilia), Dominique Lagier (Bianca). Marins, Soldats, Officiers, Serviteurs.

     

    “Dague Pop Occitania”

    avec  Françoise Dague (chant), Guy Bertrand (flûte traversière), Claude Romero (cabrette), Bernard Bennaval (vieille), Roger Pages (basse électrique), Raymond Bedel (batterie-percussions).

     

    “Horizons Danse Compagnie”

     sous la direction de Jacques Marsa.

     14 danseurs de l’Opéra de Paris. Ballets contemporains. Chorégraphie de Norbert Schmucki, de l’Opéra de Paris. “Ballet d’Ouverture”, création, de Jacques Marsa; “La Curieuse”, solo pour une danseuse, chorégraphie de Norbert Schmucki, sur des montages sonores; “Écheveau”, ballet de Norbert Schmucki sur une musique de Michel Magne; “Delta T = L’Infini”, pas de deux de Norbert Schmucki sur une musique de Ghorghe Zamfiret de Liturgie Orthodoxe; “Quator à Corps”, chorégraphie de Peter Heubi sur une musique de Schibler; “Out-Sider ou une Petite Histoire... à part”, pantomime de Werner Büchler; “Ergonia”, ballet de Norbert Schmucki sur une musique de Igor Wakhévitch; “The Planets”, création, de Norbert Schmucki sur une musique de Gustav Holst. Avec Noriko Kubota, soliste de l’Opéra de Zurich; Chantal de Fontenay, Soliste des Ballets Roland Petit (Marseille); Murielle Boulay, Soliste des Ballets du Rhin (Strasbourg) et de la Compagnie Félix Blaska; Sophie Lessard; Chanti Ruchpaul, Ballet de Stockholm; Catherine Biry, Elisabeth Bony, Soliste de Bonn; François Guierre, Ballet Classique de France; Ronald Meister, Grands Ballets Canadiens; Jacques de Camaret, Opéra de Paris; Pierre Rambert, Ballets Roland Petit; Philippe Bussac, Ballet de l’Opéra de Zürich; Jacques Marsa, Opéra de Paris; Werner Buchler, Mime; Dominique Bagouet, Ballets Blaska-Ballet du XX° siècle-Maurice Béjart.

     

    “Othello”

    10 danseurs, 10 danseuses, des guitaristes. Avec Manolito et Rafael Aguilar. Première partie: “Pueblos en España”; Deuxième partie: “El Rango”; Troisième partie “Cuadro

     Flamenco”.

     

    “Danses Nationales d’Espagne”

     de Manolita et Rafael Aguilar. “Pueblos de España”; “El Rango”; “Cuadro Flamenco”.

     

    “Los Rupay”

    folklore Bolivien. 

    Avec Ery Cortes, Omar Hoyos, Basilio Huarachi, Ricardo Mendoza, Mario Gutierrez.

     Danseurs du Ballet National de Bolivie.

     

    Source

    J-F Vivès/ Le théâtre de la Cité

     

    À La semaine prochaine pour l'Acte II...

    et d'ici-là

    Restez éveillés !

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  • Le Festival de la Cité a bientôt 60 ans (Acte I, Scène III)

     

    Festival

    Le médecin malgré lui

    Photo : Dr Faye

    1967

    “L’Avare”

    de Molière,

    représenté pour la première fois le 9 septembre 1668. Décors et costumes d’Yves Faucheur, atelier de costumes Michel Marchand, musique de François Rabbath, mise en scène de Claude Piéplu. Avec Claude Piéplu (Harpagon), Yves-Marie Maurin (Cléante), Michèle Simonnet (Elise), Pierre Rousseau (Valère), Annick Jarry (Marianne), Marcel D’Orval (Anselme), Juliette Brac (Frosine), Marcel D’Orval (Maître Simon), André Julien (Maître Jacques), Bernard Laïk (La Flèche), Claire Ifrane (Dame Claude), Georges Bonnaud (Brindavoine), Alain Cespédès (La Merluche), Georges Bonnaud (Le Commissaire).

     

    “Noces de Sang”

    de Frédérico Garcia-Lorca,

    traduction de Marcelle Auclair, poèmes traduits par Jean Prévost, costumes de Nicole Bize, meubles espagnols provenant de la Maison Quinta de Perpignan, chants et direction musicale par Ismael, mise en scène de Jean Deschamps. Avec Alain Cespédès (Léonard), Georges Bonnaud (Le Fiancé), Jean Deschamps (Le Père de la Fiancée), André Julien et Yves-Marie Maurin (Bûcherons), Marcel d’Orval et Bernard Laïk (Paysans), Mmes Maria Mériko (La Mère), Annick  Jarry (La Fiancée), Michèle Simonnet (La Femme de Léonard), Juliette Brac (La Servante),  Nicole Cerfontaine et Jeanine Codo (Jeunes Filles), Claire Ifrane (La Belle-Mère), Hélène Roussel (La Voisine), Claire Ifrane (La Mort), Hélène Roussel (La Lune).

     

    “Oedipe-Roi”

    de Sophocle,

    adapté par Vercors, musique d’André Jolivet (extraits de la “Suite Delphique”), costumes et masques à l’antique (d’après “L’inventaire de Pollux”), ateliers de costumes de Nicole Bize, mise en scène de Jean Deschamps. Avec Jean Deschamps (Oedipe), Maria Mériko (Le Grand Prêtre de Zeus, Tiresias, Jocaste, l’Esclave de Laios), Marcel D’Orval (Créon, Le Messager de Corinthe, L’Envoyé du Palais), André Julien (Le Choryphée), Juliette Brac, Claire Ifrane, Annick Jarry, Hélène Roussel, Michèle Simonnet, Georges Bonnaud, Alain Cespédès, Bernard Laïk, Yves-Marie Maurin (Choeur)

     

    “Le Trio Nordmann” 

    avec Marielle Nordmann (harpiste), André Guilbert (flûtiste), Claude Burgos (violoncelliste). Au programme: “Sonate à 3 en Si Majeur”, de J.B. Loeillet; “IVmeConcert en Trio”, de J. Ph. Rameau; “Trio en Ré Majeur”, de J. Chr. Fr. Bach; “Entr’acte pour Flûte et Harpe”, de J. Ibert; “Pièce en forme de Habanera”, de M. Ravel; “Impromptu-Caprice pour Harpe”, de G. Pierné; “Mouvement”, pour flûte, Cello et Harpe, de J. Charpentier (Salle des Chevaliers).

     

    “Récital d’Orgue”

    avec Jacques Charpentier. Chants Sacrés: Mme Vouaux-Charpentier. Auprogramme: “Eil, Mich Gott”, extrait du Psaume 70 de Heisrich Schutz pour soprano etorgue; “Allemande”, orgue seul, de Louis Couperin; “Dank-Lide”, extrait du Psaume 114d’Andréa Hammersschmidt, soprano; “Duo et Fantaisie”, orgue seul, de Louis Couperin; “Bist du Bei Mir”, de Jean-Sébastien Bach, pour soprano et orgue; “Air de la Cantate de laPentecôte”, de Jean-Sébastien Bach; “Messe pour les Paroisses”, de François Couperin; “Offertoire pour la Messe du Jour de Noël”, de Jacques Charpentier (Basilique Saint-Nazaire et Saint-Celse).

     

    1968

     

    “Les Joyeuses Commères de Windsor”

    de William Shakespeare,

    adaptation de Charles Charras, mise en scène de Guy Lauzin, décors et costumes de Yves Faucheur, musique de Edgar Bischoff. Avec Bernard Sancy (Shallow, Juge de paix de campagne), Simon Eine (Slender, cousinde Shallow), Charles Charras (Evans, curé gallois), Charles Capezzali (M. Page, bourgeois de Windsor), Jacques Fabbri (Sir John Falstaff), Gérard Thirion (Pistolet), Maurice Travail (Bardolphe), Jacques Gafuri (Nym), Annik Alane (Madame Ford), Arlette Gilbert (Madame Page),Nadia Barentin (Anne Page, la fille), Jacques Ramade (Simple, valet de Slender), Alain Souchère (Aubergiste), Cécile Montevecchi (Robin, page de Falstaff), Claudine Colas (Madame Quickly, femme de ménage du Docteur Caius), Bernard Alane (Rugby, valet du Docteur Caius), Jacques Couturier (Docteur Caius, médecin Français), Jacques Henrion (Fenton, amoureux d’Anne Page), André Gilles (Ford, bourgeois de Windsor), Jacques Leglou (Robert, valet de Ford). Grand Théâtre.

     

    “Orchestre de Chambre de Rouen”

    direction Jean Sébastien Bereau.

    Programme: “6° concert en sextuor”, de J.-P. Rameau, “Prélude pour la Genèse”, de J. Charpentier, “Cinq pièces pour cordes”, de Hindemith, “2° Concerto pour Hautbois”, de Marcello, “3° Symphonie”, de J.Rivier. Soliste Lucien Debray (hautboïste). Inaugure les représentations au Théâtre de la Cour du Midi.

     

    “Homme pour Homme”

    de Bertolt Brecht,

    création du Théâtre du Midi, adaptation de Geneviève Serreau et Benno Besson, mise en scène de Jean-Pierre Dougnac, musique de Paul Dessau, décors et costumes de Claude Lemaire. Avec Victor Garrivier (Uria Shelley), Roger Jacquet (Jesse Mahoney), Jacques Dannoville (Polly Baker), Marc Dudicourt (Charles Fairchild, appelé “Quinte de sang”), André Julien (Galy Gay, commissionnaire irlandais), Andrée Damant (La femme de Galy Gay), André Rouyer (Monsieur Wang, Bonze d’une pagode thibétaine), Valère Novarina (Mah Sing, son aide), Rosy Varte (Leokadia Begbick, Cantinière), Yves Eliott, Bernard Klein et Yves Pignot (Des Soldats). Trois thibétains. Grand Théâtre.

     

    “Concert de Musique Spirituelle”

    avec Danielle Vouaux-Charpentier (soprano) et Jacques Charpentier (orgue). Au programme, J.-S. Bach, Hammerschmidt, “Salve Regina”, de Monteverdi, et des oeuvres de Jacques Charpentier. Basilique Saint-Nazaire.

     

    “Miguel Manara”

    d’Oscar Vladislas de Lubicz Milosz,

    création du Théâtre du Midi au Palais des Rois de Majorque, mise en scène de Jean-François Rémi, décors et costumes de Claude Perset. Avec Jean Topart (Miguel Manara), André Reybaz (L’Abbé), Dominique Labourier (Girolama), Mario Pilar (Don Jaime, 3° Esprit, Esprit de la Terre), André Valtier (Fernando, 1° Esprit, 2° Religieux), Jacques Rispal (Alfonso, 1° Religieux, 2° Esprit), Jean-François Rémi (L’ombre), Marc Eyraud (Johannés-Mendès). Grand Théâtre.

     

    “Impromptu”

    récital poétique: “Poèmes à dire et à chanter”. Spectacle conçu et interprété par Simone Valère, Jean Desailly, Michel Bertay, de l’Odéon-Théâtre de France, et le pianiste Mario Reinhard. Cour du Midi.

     

    “Les Fourberies de Scapin”

    de Molière, mise en scène de Edmond Tamiz, décors et costumes de Christiane Lucke, Musique: Corelli, Modern Jazz Quartet. Avec Marie Mergey ou Monique Danpy (Nérine), Roger Cornilhac (Carle), Jacques Plee (Argante), Evelyne Istria (Zerbinette), Jean-Marie Richier (Sylvestre), André Widmer (Léandre), Etienne Several (Octave), Edmond Tamiz (Scapin), Jacques Boudet (Géronte), Claude Sendra (Hyacinthe), Gilles Tamiz (Gilles). Grand Théâtre.

     

    “Le Roi se Meurt”

    de Eugène Ionesco,

    mise en scène de Jacques Mauclair, décors et costumes de Jacques Noël. Avec Jacques Mauclair (Le Roi), Eugénie Marell (Marie), Thérèse Quentin (Juliette), Tsilla Chelton (Marguerite), Marcel Champel (Le Garde), Marcel Cuvelier (Le Médecin). Cour du Midi.

     

    “Les Chaises”

    de Eugène Ionesco,

    mise en scène de Jacques Mauclair, musique de Pierre Barbaud, décors et costumes de Jacques Noël. Avec Jacques Mauclair (Le vieux, 95 ans), Tsilla Chelton (La vieille, 94 ans), Marcel Champel (L’orateur, 45 à 50 ans), et beaucoup d’autres personnages. Cour du Midi.

     

     “La Leçon”

    de Eugène Ionesco, mise en scène de Jacques Mauclair, décors et costumes de Jacques Noël. Avec Marcel Cuvelier (Le professeur), Thérèse Quentin (L’élève), Marcel Champel (La Bonne). Cour du Midi.

     

    “Ballets de l’Opéra de Marseille”

    premier programme. Directeur: Joseph Lazzini. Musiqueenregistrée par l’Orchestre de l’Opéra de Marseille sous la direction du Maître Jean Trik.Programmes (1 et 2): “La Valse”, musique de Maurice Ravel, argument et chorégraphie de Joseph Lazzini, costumes de Bernard Daydé; “Orpheus”, musique de Igor Stravinsky, chorégraphie de Joseph Lazzini, décors et costumes de Michel Raffaelli; “Lascaux”, musique de John Antill, argument et chorégraphie de Joseph Lazzini, décors et costumes de James Hodges; “Ecce Homo”, création, musique de José Bergmans, argument et chorégraphie de Joseph Lazzini; “Ishtar”, création, musique de José Bergmans, Ballet de Johanne Klein et Joseph Lazzini, chorégraphie de Joseph Lazzini; “+ ou -”création, musique de Edgard Varèse (Ionisation, Hyperprisme et Density 2,5), chorégraphie de Joseph Lazzini, décors et costumes de Jean Tognetti; “Pas de trois”, création, musique de Rossini-Britten, chorégraphie de Joseph Lazzini, décors et costumes de James Hodges; “Concerto pour basson”, création, musique de Marcel Landowsky, chorégraphie de Joseph Lazzini, décors et costumes de James Hodges. Grand Théâtre.

     

    “Groupe Instrumental à Percussion de Srasbourg”.

    Avec Jean-Paul Batigne, Gabriel Bouchet, Jean-Paul Finkbeiner, Detlef Henri Kieffer, Claude Ricou, Georges Van Gucht. Au programme: Etudes Maurice Ohana, Cycle Gilbert Amy, Ionisation Edgar Varèse, 8 inventions Miloslav Kabelac. Grand Théâtre.

     

    1969

     

    “Jules César”

    de William Shakespeare,

    adaptation de Jean-Francis Reille, mise en scène de Jean Deschamps, assisté par Yves Kerboul et Robert Bousquet, décoration et costumes de Claude Perset, ateliers: Nicole Bize (costumes), et Madiot (armes), musique de Vincent Gemignani. Avec Jean-Marc Bory (Marcus Brutus), Alain Mottet (Cassius), Pierre Hatet (Marc-Antoine), Jean Deschamps (Jules César), Jacques Dannoville (Casca), Yves Kerboul (Décius Brutus), Max Darrière (Trébonius), Jean Brun (Metellus), Raoul Billerey (Cinna), Robert Bousquet (Ligarius), Jean Bousquet (Popilius Lena), Max Darrière (Flavius), Jean Brun (Marullus), Jacques Gripel (Un Devin), André Bonnafil (Lucius), Yves Cadène (Artémidore, de Cnide), Patrick Pezin (Cinna le Poète), Jean-Pierre Sans (Serviteur d’Antoine), Jacques Delcamp (Serviteur d’Octave), Robert Nardonne (Serviteur de César), Annick Jarry (Portia), Muriel Chaney (Calpurnia), Alain Cespedes (Octave César), Jean Brun (Emilius Lepidus), Jacques Gripel (Messala), Robert Bousquet (Titinius), Raou Billerey (Lucilius), Max Darrière (Pindarus), Jean Bousquet (Clitus), Yves Kerboul (Volumnius), Robert Lucibello (Straton), Michel Cordes (Le Jeune Caton), Jacques Delcamp (Le Messager). Plébéiens, Gardes, Soldats: Yves Cadène, Alain Cespèdes, Jacques Delcamp, Michel Cordes, Robert Lucibello, Robert Nardonne, Patrick Pezin, Jacques Sarais. Grand Théâtre.

     

    “Récital Paco Ibanez”.

    Cour du Midi.

     

    “Le Bossu”

    drame en 5 actes et 11 tableaux

    de Paul Féval.

    Mise en scène de Jean Deschamps, assisté par Yves Kerboul et Robert Bousquet, dispositif scénique de Claude Perset, costumes de Nicole Bize, duels réglés par Raoul Billerey. Les Complaintes sont de Henri Gougaud et la musique de Jean Bertola. Chanteur de Complainte: Jean Brun. Avec Pierre Hatet (Lagardère), Alain Mottet (Philippe de Gonzague), Jacques Gripel (Cocardasse), Jacques Dannoville (Passepoil), Jean Bousquet (Peyrolles), Raoul Billerey (Le Marquis de Chaverny), Jean Deschamps (Le Régent), Robert Bousquet (Le Duc de Nevers), Jean Brun (D’Argenson), Yves Kerboul (Tonio), Max Darrière (Navailles  et Saupitz), Alain Cespedès (Garrigues et Bonnivet), Yves Cadene (Bréant), Alain Cespedès (Un Architecte), Patrick Pezin (Le Notaire), Robert Lucibello (Nathaniel), André Bonnafil (Un Page), Jean-Pierre Sans (Albret et Faenza), Jacques Delcamp (Oriol), Saldagne (Jean Deschamps), Raoul Billerey (Pinto), Muriel Chaney (Blanche de Caylus), Annick Jarry (Blanche de Nevers), Michèle Simonnet (Flor), Juliette Brac (Martine et Madeleine), Jeanine Codo (Angélique), Robert Lucibello, Jacques Delcamp, Michel Cordes, Jacques Sarais, Robert Nardonne, Patrick Pezin (Volontaires, Bandouliers, Solliciteurs, Estaffiers et Gardes Françaises). Grand Théâtre.

     

    “Noces de Sang”

    de Federico Garcia Lorca.

    Traduction de Marcelle Auclair, poèmes traduits par Jean Prévost, costumes de Nicole Bize, chants et direction musicale par Ismaël, mise en scène de Jean Deschamps. Avec: Maria Meriko (La Mère), Annick Jarry (La Fiancée), Suzanne de Morlhon (La Lune), Claire Ifrane (La Belle-Mère), Michèle Simonnet (La Femme de Léonard), Juliette Brac (La Servante), Muriel Chaney (La Voisine), Jeanine Codo, Dominique Gaignère, Andrée Lucibello, Bernadette Vitrac (Jeunes Filles), Claire Ifrane (La Mort), Alain Cespèdes (Léonard), Michel Cordes (Le Fiancé), Jean Deschamps (Le Père de la Fiancée), Yves Cadène (Bûcheron), Jean Brun, Max Darrière (Invités), Jacques Delcamp, Robert Lucibello, Robert Nardonne, Patrick Pezin, Jacques Sarais (Paysans). Grand Théâtre.

     

    “La Moscheta”

    de Ruzante.

    Version scénique et mise en scène de Marcel Maréchal, décors et costumes de Jacques Angeniol, costumes réalisés par Jacques Schmidt, montage musical de Bernard Ballet et Marcel Maréchal, texte français de Michel Arnaud, recherches dramatiques sur le texte original de Jean-Marie Auzias. Avec José Gagnol (Le Prologue), Bernard Ballet (Menato), Jacques Angeniol (Betia), Marcel Maréchal (Ruzante), Jean-Jacques Lagarde (Tonin), Jean-Claude Bourret, Alain Casas, Sylvain Moreau, Nicolas Pignon (Peuple du Faubourg). Grand Théâtre.

     

    “Occitania, Occitania...”.

    Mise en scène de Léon Cordes, texte de présentation de Henri Gougaud. Avec Claude Marti et Patrick Martin. Cour du Midi. 

     

    “Concert d’Orgue”

    avec Jacques Charpentier.

    Au programme: “Suite du Premier Ton”, de Jacques Boyvin, “Domine Deus”, aria pour soprano extrait du “Gloria”, de Vivaldi; “Gloire à Dieu au Plus Haut des Cieux”, choral suivi de dix-sept variations de J.-S. Bach, “Ich Folge dich Gleichfalls”, aria pour soprano extrait de la “Passion selon Saint-Jean”, de J.-S. Bach; “O Filii et Filiae”, variation pour orgue de J.-F. Dandrieu; “Tu Virginem Corona”, aria pour soprano extrait du motet “Exultate Jubilate”, de Mozart;“Premier Dialogue sur les Grands Jeux”, de Nicolas de Grigny. Soliste: Mme Vouaux-Charpentier (soprano). Église Saint-Nazaire.

    Festival

    Hamlet

    Photo : Dr Faye

     

    1970

    “Cyrano de Bergerac”,

    d’Edmond Rostand

    mises en scène de Jean Deschamps assisté de Raoul Billerey. Représenté pour la première fois le 28 décembre 1897 au Théâtre de la Porte Saint-Martin. Décors et costumes de Roger Pellerin, décors réalisés par les Ateliers Municipaux de Carcassonne, combats réglés par Raoul Billerey. Avec Pierre Hatet (Cyrano de Bergerac), Christian Barratier (Christian de Neuvillette), Robert Bousquet (Comte de Guiche), Armand Meffre (Ragueneau), Gilbert Vilhon (Le Bret), Jacques Gripel (Carbon de Catel-Jaloux), Jacques Dannoville (Lignière), Raoul Billerey (De Valvert), Raoul Billerey, Marc Bonseignour, Alain Jolin, Yves Kerboul, Robert Lucibello, Philippe Nahon, Jean-Pierre Sans (Les Cadets), François Robert (Un Marquis), Jean Brun (Montfleury), Yves Kerboul (Bellerose), Philippe Nahon (Jodelet), Jacques Vielle (Cuigy), Marc Bonseignour (D’Artagnan), Roger Souza (Brissaille), Jean Bousquet (Un Fâcheux), Jean Brun (Un Mousquetaire), Jacques Dannoville (Un Officier Espagnol), Jean-Pierre Sans (Un chevau-léger), Pierre Gérald (Le Portier), François Robert (Un Bourgeois), André Bonnafil (Son Fils), Philippe Nahon (Un Tire-Laine), Dobert Lucibello (Un Laquais), Alain Jolin (Un Garde), André Bonnafil (Bertrandou le Fifre), Jean Bousquet (Le Capucin), André Bonnafil et Jean-Pierre Sans (Deux Musiciens), Jean Bousquet, Pierre Gérald, Yves Kerboul, Philippe Nahon, François Robert (Les Poètes), Alain Jolin, Jean-Pierre Sans, Robert Lucibello et Marc Bonseignour (Les Pâtissiers), François Robert (Théophraste Renaudot), MmesTania Torrens (Roxane), Annick Jarry (Soeur Marthe), Maryvonne Schiltz (Lise), Annick Jarry (La Distributrice), Hélène Duc (Mère Marguerite de Jésus), Hélène Duc (La Duègne), Maryvonne Schiltz (Soeur Claire), Annick Jarry et Andrée Kermarec (Les Comédiennes), Maryvonne Schiltz et Annick Jarry (Les Précieuses), Andrée Kermarec (La Bouquetière). Bourgeois, marquis, mousquetaires, pâtissiers, poètes, cadets, gascons, comédiens, soldats espagnols, spectateurs, spectatrices, précieuses, comédiennes, bourgeoises, religieuses...  Grand Théâtre.

     

    “La Guerre de Troie n’aura pas lieu”

    pièce en 2 actes de Jean Giraudoux,

    mise en scène d’Yves Kerboul, dispositif scénique de Claude Perset, costumes d’Yves Kerboul réalisés par Nicole Bize, Régie générale: Luc Daiandre. Avec Jean-Claude Drouot (Hector), Jean Deschamps (Ulysse), Jean Bousquet (Demokos), Jacques Gripel (Priam), Christian Barratier (Pâris), Raoul Billerey (Oiax), Gilbert Vilhon (Le Gabier), Pierre Gérald (Le Géomètre), Jean Brun (Abnéos), Jean-Pierre Sans (Troïlus), Gérard Pichon (Olpidès), Alain Jolin (Oneah), Marc Bonseignour (Minos), Robert Lucibello et Philippe Nahon (Marins), Roger Souza et André Bonnafil (Serviteurs), François Robert, Yves Kerboul et Jacques Vielle (Vieillards), Mmes Maryvonne Schiltz (Andromaque), Tania Torrens (Hélène), Hélène Duc (Hécube), Nita Klein (Cassandre), Andrée Kermarec (La Paix), Sandrine Drouot (La Petite Polyxène). Servante et Troyennes. Grand Théâtre. 

     

    “Montserrat”

    d’Emmanuel Roblès,

    mise en scène de Stellio Lorenzi, décors et costumes de Michel Rafaelli, atelier: Nicole Bize, Régie générale: Luc Daiandre. Avec Denis Manuel (Montserrat, Officier Espagnol), Jean Deschamps (Izquierdo, Premier Lieutenant du Capitaine Général Monteverde), Jacques Dannoville (Le Père Coronil, Moine Capucin, Chapelain de Monteverde), Marc Bonseignour (Zuazola, Officier Espagnol), Raoul Billerey (Moralès, Officier Espagnol), Robert Bousquet (Antonanzas, Officier Espagnol), Maryvonne Schiltz (La Mère), Annick Jarry (Elena), Daniel Sarky (Juan Salcedo, le Comédien), Armand Meffre (Salas Ina, le Marchand), Jacques Gripel (Arnal Luhan, le Potier), Roger Souza (Ricardo), Gérad Pichon, Jean-Pierre Sans, Philippe Nahon, Alain Jolin, Robert Lucibello, François Robert (Soldats). Grand Théâtre.

     

    “Nouvelle Chanson Occitane”

    Avec Mans de Breish, Delbeau, Patric, Claude Marti. Récitants: M. et Mme Pezin. Salle des Chevaliers.

     

    “Ballet-Théâtre Contemporain”

    par le Centre Chorégraphique National.

    Avec Muriel Belmondo, Marie-Claire Carrié, Jacques Dombrowski, Véra Filatoff, Martine Parmain, Don Snyder, James Urbain, et la Compagnie du Ballet-Théâtre Contemporain (20 danseurs). Animateur chorégraphique: Françoise Adret. Au programme: “Danses Concertantes”, Musique d’Igor Stravinski, chorégraphie de Félix Blaska, scénographie de Sonia Delaunay; “Aquathème”, musique d’Ivo Malec, chorégraphie de Françoise Adret, scénographie de Gustave Singier; “Itinéraires”, musique de Luciano Berio, chorégraphie de John Butler, scénographie de Piotr Kowalsky; “Hopop”, Pop’music, chorégraphie de Dirk Sanders, scénographie de César, costumes d’après Guy Pellaert.

     

    1971

    “Nuits de la Cinémathèque Française”

    films burlesques américains (Théâtre Municipal).

     

    “Les Trois Mousquetaires”

    d’Alexandre Dumas,

    adaptation d’Henri Gougaud,

    mise en scène de Michel Berto assisté de Roger Cornillac, musique de Jean Bertola. Combats réglés par Raoul Billerey, décors et costumes de François Robert, chorégraphie de Jacques Giraud. Avec Gérard Desarthe (D’Artagnan), Pierre Meyrand (Porthos), Jean-Pierre Andréani (Aramis), Raoul Billerey (Athos), Jacques Gripel (Richelieu), Michel Berto (Louis XIII), Jacques Mauclair (Monsieur Bonacieux), Robert Bousquet (Buckingham), François Robert (De Winter), Jacques Dannoville (Rochefort), André Thorent (Tréville), Georges Audoubert (Le Bourreau), André Julien (Planchet), Roger Cornillac (Felton), André Thorent (Le Commissaire), Frédéric de Pindray (De Wardes), André Julien (Le Père de d’Artagnan), Robert Bousquet (Jussac), Roger Cornillac (Biscarat), Roger Cornillac (Le Chef des Gardes), Guy Pelouze (L’Huissier), Michel Berto (L’Aubergiste de Meung sur Loire), Jacques Duran (Un Garde), François Robert (L’Aubergiste de Colombier Rouge), Michel Berto (Le Capitaine), Frédéric de Pindray (Patrick), Henri Balue (Un Mousquetaire), Alain Almerge (Un Mousquetaire), Magali Noël (Milady), Nita Klein (Mme Bonacieux), Maryvonne Schiltz (Anne d’Autriche), Anne Varese (Ketty).

     

    “La Reine Morte”,

    de Henry de Montherlant,

    mise en scène de Jean Deschamps, décors et costumes de Jacques Dupont. Donnée pour la première fois le 8 décembre 1942 à la Comédie- Française. Avec Jean Deschamps (Ferrante, Roi du Potugal), Jean-Pierre Andreani (Le Prince Don Pedro, son fils), Gérard Desarthe (Egas Coelho, Premier Ministre), André Thorent (Alvar Gonçalvès, Conseiller), François Robert (Don Christoval, Ancien Gouverneur du Prince), Jacques Dannoville (Le Grand Amiral et Prince de la Mer), Daniel Cuvellier (Diño Del Moro, Page du Roi), Pierre Meyrand (Don Eduardo, secrétaire de la main), Robert Bousquet (Don Manoel Ocayo), Raoul Billerey (Le Capitaine Batalha), Frédéric de Pindray (Le Serviteur), Raoul Billerey (Le Lieutenant Martin), Maryvonne Schiltz (Iñès de Castro), Anne Varese (L’Infante de Navarre).

     

    “Les Amours de Jacques le Fataliste”

    de Denis Diderot,

    mise en scène de Francis Huster.

     

    “Le Septième Commandement”

    création, de Dario Fo,

    mise en scène de Jacques Mauclair, assistant: Roger Cornillac, adaptation Française de Sandra Camasio, musique de Fiorenzo Carpi, décors et costumes de Louis Thierry, masques exécutés par Nanie Noël, atelier de costumes: Nicole Bize, chorégraphie: Jacques Giraud, éléments scéniques réalisés dans les Ateliers Municipaux de Carcassonne. Avec Magali Noël (Enée), André Thorent (Le 1° Fossoyeur, le Commissaire, le Fou Vietnam), André Julien (Le 2° Fossoyeur, le Fou Allemagne, le Juge), Jacques Mauclair (Le 3° Fossoyeur, le Voleur, le Fou Angleterre, le Grand Officier, l’Excellence), Jacques Gripel (Le 4° Fossoyeur, le Fou Amérique, le Professeur Fou), François Robert (Le Gardien, le 1° Policier, le Fou Belgique), Georges Audoubert (Le Sarcophageophobe, le Fou France), Roger Cornillac (Le 2° Policier, le Fou Russie), Pierre Meyrand (Le Directeur du Cimetière, le Fou Chine), Nita Klein (La Femme du Sarcophageophobe, la Deuxième Respectueuse, la Femme du Gardien, la Mère Supérieure), Maryvonne Schiltz (La PremièreRespectueuse, la Première Religieuse), Anne Varese (La Troisième Respectueuse, la Deuxième Religieuse). 

     

    “Torquemada”

    de Victor Hugo,

    mise en scène de Denis Llorca, assisté de André Julien, décors et costumes de François Robert, atelier de costumes: Nicole Bize. Donné pour la première fois le 8 mai 1936 à la Nouvelle-Comédie. Avec Georges Audoubert (Torquemada), Jacques Dannoville (Ferdinand, Roi), André Thorent (Gil, Marquis de Fuentel), Jacques Gripel (François de Paule), André Julien (Gucho, Bouffon), Raoul Billerey (Alexandre VI, Pape), Jacques Mauclair (Moïse Ben Habib, Grand Rabbin), Jean-Pierre Andreani (Le Duc), Roger Cornillac (Le Prieur), Robert Bousquet (L’Evêque de La Seu D’Urgel), Frédéric de Pindray (Don Sanche de Salinas), Anne Varese (Doña Rose d’Orthez), Nita Klein (Isabelle, reine), Gérard Desarthe (Le Christ), Jean-Pierre Andréani (Le S.S.), Michel Berto (Victor Hugo), Maryvonne Schiltz (Lucrèce Borgia), Nita Klein (Première Soeur), Maryvonne Schiltz (Deuxième Soeur), Pierre Meyrand (Le Marchand d’Indulgences).

     

    “Atahualpa Yupanqui”

    Poète et Guitariste argentin.

     

    Sources

    J-F Vivès/ Le théâtre de la cité

     

    À demain, pour la dernière scène de l'acte I...

    et d'ici-là

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