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Musique et patrimoine de Carcassonne - Page 378

  • À la recherche des commerces disparus de la Bastide (2)...

    Restaurant Sentenac

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    Le restaurant Sentenac-Bourguignon est signalé sur un annuaire dès 1897, au numéro 12 de la rue de l'aigle d'or. L'enseigne indique que M. Vitrac lui succéda, sûrement avant la guerre de 1914. Est-ce la même famille Vitrac qui tint ensuite l'hôtel du même nom dans la rue du Pont vieux ? 

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    Le Paris-Carcassonne

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    Ce grand magasin de nouveautés se trouvait place Carnot jusque dans les années 1960. On pouvait y acheter presque de tout, allant de l'habillement à l'horlogerie. Il faisait la fierté de la ville. C'est aujourd'hui un petit supermarché.

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    Le comptoir national d'escompte

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    Le comptoir national d'escompte de Paris avait pour directeur M-O Laffon. Il faisait fructifier l'argent des Carcassonnais, à l'angle de la place Carnot et de la rue de la gare. C'est aujourd'hui le Crédit Lyonnais.

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    L'horlogerie Labarre

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    Éloi Labarre possédait une petite boutique en haut des marches des halles, rue Chartran. C'était l'oncle de M. Zwicker qui tenait encore il y a quelques années une horlogerie dans la rue de Verdun. Dans les halles, on aperçoit la boucherie J. Perdigou et les cafés Fieu. Tout ceci est désormais fermé et l'échoppe de l'horloger a disparu.

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    La pharmacie Chaubet

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    La pharmacie Chaubet, chimiste de première classe. Elle passa ensuite entre les mains de M. Coll puis Boyer. L'une des plus anciennes encore en activité dans Carcassonne, rue Aimé Ramond.

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    Rouan, soldeur

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    Dans la rue Chartran, M. Rouan était également éditeur d'une série de cartes postales de Carcassonne. Un peu plus loin, on aperçoit le magasin "À la vierge" dont de nombreux Carcassonnais se souviennent encore. C'est maintenant l'épicerie fine "La ferme" et son restaurant à côté.

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    Les cycles Jalbaud

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    Au début du XXe siècle, les cycles Jalbaud et Darzens possédaient un magasin 35 rue du Pont vieux. Si l'activité passa ensuite à M. Azalbert en 1935, le devanture d'origine est aujourd'hui toujours là...

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    Pierre Sibra, Modes

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    Autre magasin dont la devanture est restée intacte, le salon de modes de Pierre Sibra, 3 bis rue Barbès. C'est maintenant une agence immobilière.

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    Si vous possédez des cartes postales ou des photographies d'anciens commerces ou artisanats de Carcassonne, vous pouvez les envoyer par mail :

    andrieu-martial@wanadoo.fr

    Photos

    Collection Martial Andrieu

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  • À la recherche des commerces disparus de la Bastide (1)...

    Le centre-ville de Carcassonne, appelé encore il y a 25 ans "Ville basse", a subi en un siècle bien des transformations dans les domaines du commerce et de l'artisanat. Ce sont d'abord de vieux métiers qui ont disparu tels que cordonnier, bourrelier, coutelier, chaudronnier, ferblantier...etc. Peu à peu, les commerces indépendants ont suivi la tendance laissant aujourd'hui, presque uniquement le champ libre à des enseignes nationales franchisées. Nous allons donc tenter de les faire revivre à travers les vieilles cartes postales qu'ils nous ont léguées.

    Cordonnerie Courrieu

    Horlogerie Labène

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    Ces deux artisans étaient rassemblés dans un même commerce. Sûrement, une seule et même famille travaillant ensemble, 20 rue de la mairie (actuelle rue Aimé Ramond). On les retrouve dans le Didot-Bottin de 1934.

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    Épicerie Ambry

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    L'épicerie de Joseph Ambry, 66 Grand'rue (actuellement, 58 rue de Verdun). Fondée en 1875, ce commerce alimentaire vendait également de la droguerie. Le dernier des Ambry qui se prénommait Joseph comme tous ses descendants, fonda l'Étoile du Midi. Les entrepôts se trouvaient sur la rive gauche du Canal du midi. On a construit depuis la résidence l'Étoile à cet endroit, d'où son nom. Après la guerre de 14-18, cette grande épicerie de la rue de Verdun fut vendue pour moitié à la boucherie Miquel. L'autre moitié fut transformée en une succursale de l'Étoile du midi. (Source : A. Raucoules)

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    Séverac, Modes

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    La boutique de modes de Madame Séverac se trouvait 14, place Carnot. Outre des corsets, on y trouvait des chemisiers, des bonnets... C'est aujourd'hui un débit de tabac et marchand de journaux.

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    Roumens, tailleur

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    Voilà un autre artisanat qui a totalement disparu de notre ville... Les hommes n'ont plus besoin de s'habiller sur-mesures car la confection s'est adaptée aux contraintes corporelles. Le magasin de M. Roumens se trouvait 57, rue du marché (actuelle rue A. Tomey).

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    Lordat, Nouveautés

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    Au départ, ce sont trois associés Paul Lordat, Cassigniol et Barrau qui reprennent l'affaire de la maison A. Sorel : 50 et 52 Grand-rue (rue de Verdun) et 5, place Carnot. Ce grand magasin possédait donc deux entrées dont il reste encore aujourd'hui la façade d'origine. Aussi bien à l'actuel New Man qu'à la banque CIC. Peut-être cette famille était-elle descendante de Louis, Comte de Lordat et Baron de Bram ; Brigadier des armées du Roy Louis XV.

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    Pharmacie Taillefer

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    L'une des plus anciennes de la ville répertoriée sur un annuaire de 1904, 41 rue de la gare.   Aujourd'hui, 39 rue Clémenceau c'est le lunetier Afflelou. Comme beaucoup à cette époque, l'officine est également herboristerie. Remarquez le bec de gaz aux armes de la Cité, en haut à droite.

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    Roquefort, Graines

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    J. Roquefort, marchand de graines et de fleurs, 28 rue du marché. Il avait pris la succession de M. Alazet. L'ancien magasin est situé actuellement 38 rue A. Tomey, en raison du changement de numérotation au cours des années.

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    Tisseyre, bourrelier

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    Auguste Tisseyre, bourrelier dans la Grand-rue au numéro 90. Selon Alfred Raucoules, le joueur de rugby Albert Domec aurait habité cette maison.

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    Photos

    Collection Martial Andrieu

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  • Une "drôle de dame" à Verzeille...

    Au mois d'octobre 1984, la ville de Carcassonne reçoit l'équipe de tournage et les acteurs d'un téléfilm anglais réalisé par Lawrence Gordon Clark pour le compte de Yorkshire Television. Les scènes seront tournées à la Cité et dans un petit village des alentours.. Ce film sera diffusé aux États-Unis le 4 mars 1985 et dans d'autres pays dont l'Espagne, les Pays-bas, la Hongrie, la Roumanie et bien sûr la France.

    Romance on the Orient-Express

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    Synopsis

    Après un séjour à Venise, Lily Parker, une jolie américaine, récemment promue rédactrice d'un magazine, décide de se rendre à Paris en empruntant le train de luxe : le Venise-Simplon-Orien-Express. Au cours de la première soirée passée à bord, elle rencontre fortuitement Alex Woodward, un jeune aristocrate britannique, avec qui elle a connu une histoire d'amour 10 ans auparavant à l'occasion de vacances en France. Après une courte aventure passionnée, Alex l'a quittée brutalement sans lui donner la moindre explication sur les raisons de sa rupture. À l'occasion de leurs retrouvailles, Alex essaye de se faire pardonner tandis que Lily cherche à connaître les motivations de sa conduite passée. Malgré les années, leur amour ne s'est pas éteint. (Wikipedia)

    Cheryl Ladd

    L'actrice principale de ce téléfilm (Cheryl Ladd) n'est autre que l'une des "Drôles de dames" dans le série du même nom, très connue en France dans les années 80.

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    Les lieux de tournage

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    L'Orient-Express s'arrêta en gare de... Verzeille. Si, si ! Un petit village sur la ligne Carcassonne- Quillan situé à seulement à une quinzaine de kilomètres de Carcassonne.

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    On voit clairement le nom de la gare de Verzeille sur cette capture d'écran tirée du téléfilm. Ce qui est amusant c'est d'y voir une actrice acheter un tee-shirt "J'aime la France" sur le quai de la gare de ce village de 400 habitants.

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    La gare de Verzeille en 2015

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    De très beaux plans de la Cité et du Canal du midi mettent en valeur notre patrimoine historique et touristique. Ainsi que la beauté des villages qui sont traversés par les protagonistes de cette romance.

    Vous pouvez visionner ce film en cliquant sur le lien ci-dessous. Verzeille apparaît à 1h07 environ

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