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Actualités - Page 10

  • Les mémoires du Chanoine J. Cunnac aux archives de l'Aude

    Cette semaine, j'ai déposé aux Archives départementales de l'Aude les trois cahiers des mémoires manuscrites de Joseph Cunnac, historien et ancien supérieur de l'Ecole Saint-Stanislas de Carcassonne. Ces documents m'avaient été donnés par M. Pierre Pauc. Après consultation, j'ai décidé d'en faire don aux archives afin qu'ils soient inventoriés et mis à la disposition de l'ensemble des chercheurs. Ces mémoires retracent la vie spirituelle du chanoine au sein des congrégations, mais également la vie du chercheur, spécialiste de l'histoire du village de Pépieux.

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    Voici les remerciements que j'ai reçus en retour du services des Archives de l'Aude

    Cher Monsieur,

    Sans attendre et à la suite de votre passage ce jour dans nos locaux, je tiens à vous remercier bien sincèrement pour le don de documents que vous avez bien voulu effectuer envers nos services. Je sais d’ailleurs à quel point vous êtes constamment soucieux de la conservation pérenne des archives audoises. Nul doute que les trois cahiers des mémoires du chanoine Cunnac pourront rendre des services et apporter de précieuses informations aux chercheurs et aux autres passionnés qui travaillent sur l’histoire de notre département. Dès qu’ils auront été intégrés dans nos collections, nous ne manquerons pas de vous communiquer leur cote.

    En vous renouvelant mes remerciements, veuillez agréer, cher Monsieur, l’expression de mes cordiales salutations.

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    © Tous droits réservés / Musique et patrimoine / 2022

  • Nouvelles...

    Mesdames, messieurs
    Chers lecteurs,
     
    J’ai décidé à partir d’aujourd’hui de suspendre toutes mes activités en faveur du patrimoine, de la culture, du tourisme et de l’histoire de cette ville. Que ce soit sur Facebook ou sur mon blog « Musique et patrimoine ». Cette procédure prend effet immédiatement et pour une durée indéterminée. Pendant de nombreuses années je me suis dépensé sans compter pour valoriser bénévolement Carcassonne et ses habitants. J’ai passé des heures entières au détriment de mes intérêts et de ceux de ma famille à tenter de faire progresser les valeurs que je porte. Des forces supérieures n’ont que la calomnie, l’opprobre et le mépris à opposer à ce que je fais. il est un ailleurs où les méritants sont au moins encouragés et aimés, à défaut d’être honorés. Vous ne trouverez pas cela à Carcassonne chez nos responsables, à moins que vous apparteniez à leurs chapelles respectives. Il n’y a que l’intérêt qui compte. Cela m’arrache le cœur de le dire, mais chacun peut le constater aisément. Je ne suis pour cette caste qu’un vulgaire, comme ils le disent, « intermittent du spectacle ». Ce qui ne veut rien dire, car ce n’est pas un métier. En vérité, je suis diplômé du conservatoire de musique et reconnu par mes pairs comme un très bon ténor d’opéra. Je me produis sur toutes les scènes de France depuis 25 ans. Ne me cherchez pas dans l’Aude, toutes mes initiatives pour y chanter ont été vaines. Oui, je suis Carcassonnais ! Je le resterai toute ma vie.
     
    Bien à vous
     
    Martial Andrieu.

  • Massacre à la Pelle mécanique d'une œuvre d'art

    On avait tout tenté, tant espéré. Nous avions alerté depuis des mois. Et pourtant ! Ils l'ont fait...

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    Massacre à la pelle mécanique de la céramique de l'artiste Jean Camberoque. C'est le titre d'une basse œuvre comme, hélas, notre ville en est coutumière. Le fils de l'artiste les avait pourtant supplié, à force de missives adressées à l'hôtel de ville, d'épargner les carreaux de son père. Ce maître du feu avait obtenu ses galons près des fours de Sant Vicens. Tout une époque, où l'art s'était sublimé grâce à la loi sur le 1% artistique inventée par René Iché, un autre Audois. L'élu en charge de la culture déclara même dans l'Indépendant le 28 janvier :

    "Un élément remarquable sera tout de même conservé à la Roseraie. Il s'agit de la fresque de Jean Camberoque. Ce point a été discuté lorsqu'il s'est agi de délivrer le permis de construire. La fresque sera donc réinstallée dans le nouvel ensemble. Si ce n'était pas le cas, la ville la réinstallerait dans l'un de ses bâtiments".

    Que s'est-il donc passé ? A l'aide d'un burin, les gens du chantier de démolition de la Roseraie, ont essayé de décoller les carreaux de céramique. Après une tentative qui vit le premier se briser, ils ont appelé à la rescousse la pelle mécanique avec le succès que l'on connaît. N'existe t-il pas des entreprises spécialisées, mandatées par la Direction Régionale des Affaires Culturelles ?

    Que va t-on faire désormais avec ces restes ? Dieu seul le sait.. 

    Une restauration à grand frais ou... la déchetterie, plus sûrement.

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