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  • Le buste du Dr Gally se trouve bien au nouvel hôpital

    Contrairement aux informations que des responsables de l'accueil du nouveau Centre hospitalier de Carcassonne avaient données à Jacques Blanco, la preuve nous est maintenant donnée que le buste du Dr Gally s'y trouve bien. Ne lisant pas dans la boule de cristal, nous ne pouvions que conclure à sa disparition.

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    L'oeuvre d'art signée Jean-Baptiste Malacan

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    Le buste a été placé dans la Salle du conseil d'administration de l'hôpital. Dès lors, peu de personnes pouvaient être raisonnablement au courant de son placement à cet endroit. Nous appelons encore de nos voeux qu'une commission municipale chargée de répertorier l'ensemble des oeuvres d'art dans l'espace public de la commune, se mettre en place.

    Nous remercions le Dr Lazarovici de nous avoir transmis ces clichés

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    © Tous droits réservés/ Musique et patrimoine/ 2014

     

     

  • Mémoires de Ladislas Levavasseur, chirurgien-major de Napoléon 1er

    Je le plaisir de vous annoncer la sortie prochaine de mon dernier ouvrage consacré à la transcription des Mémoires de Ladislas Levavasseur, chirurgien-major de Napoléon 1er. Cet éminent praticien qui exerça également ses fonctions à l'Hôtel-Dieu de Carcassonne après la destitution de l'Empereur, fut le grand-père maternel du compositeur Paul Lacombe. Il naquit à Cambrai en 1781, puis vint s'établir à Carcassonne après avoir épousé une jeune fille de Trausse-Minervois. Il mourut en 1864, quatre années seulement après avoir dicté ses mémoires de guerre à son petit-fils Léon Levavasseur ; il est inhumé au cimetière Saint-Michel de Carcassonne. Dans son récit, il évoque avec force détails les campagnes auxquelles il participa comme l'expédition de Saint-Domingue, les campagnes d'égypte, d'Italie et d'Espagne, Wagram...

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    L'ensemble de la mise en page et de la couverture a été réalisée par mes soins. Ce livre est vendu à compte d'auteur.

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    La première de couverture

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    La dernière de couverture

    Vous pouvez d'ores et déjà vous faire mettre de côté un exemplaire en m'envoyant vos coordonnées

    andrieu-martial@wanadoo.fr

    Vous serez prévenu en retour dès que l'ouvrage sera disponible

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    Lien permanent Catégories : Livres
  • Contrariés!

    Voilà trois jours nous écrivions un article pour signaler la disparition du buste du Dr Gally après le déménagement de l'ancien Centre hospitalier Antoine Gayraud, il y a maintenant trois semaines. Ce travail de veille sur le terrain est l'oeuvre de Jacques Blanco, secrétaire des Amis de la Ville et de la Cité, dont on ne saurait remettre en cause la probité et la droiture. Ce dernier après s'être rendu au nouvel hôpital pour s'assurer qu'il n'y était pas, revenait avec les renseignements qu'on lui avait donné là-bas. À savoir, qu'il ne s'y trouvait pas. Il s'informa même auprès du Dr Robinet que ce buste avait été remis au héritiers. Dont acte! Il fallait donc en déduire que l'oeuvre d'art avait disparu et que nous devions la retrouver. C'était donc tout naturellement, l'objet de l'article que nous avons publié par la suite. Sans en être, nous avons réalisé le travail de tout bon journaliste qui avant d'écrire un papier mène une enquête sur le terrain. C'est exactement la même mission que j'ai menée lorsque j'ai découvert la croix volée au pied de la Cité en 2010. J'ai immédiatement téléphoné au château comtal où l'on m'indiqua que l'objet était en restauration. Il a fallu un article dans les journaux pour que l'administratrice de la Cité, avoue qu'elle avait été dérobée. Une croix sans valeur paraît-il... Or, nous avons retrouvé une étude qui la mentionne comme étant du XIIIe siècle. Bref...

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    Hier, tout s'est accéléré car chacun connaît maintenant le poids de ce blog pour la défense du patrimoine. D'abord, un commentaire de l'article est laissé par les héritiers du Dr Gally pour s'inquiéter de la disparition du buste et que l'hôpital ne les ait pas mis au courant. Nous supposons qu'ils ont alerté la direction de l'hôpital pour leur demander des comptes. Dans la foulée, je reçois un appel d'un notable carcassonnais m'accusant de répandre la rumeur avec mon ami Blanco, comme tous les journaux de cette ville. Que le buste est dans un endroit bien visible du public. Il se garde bien, malgré ma demande, de me dire où afin que je puisse le vérifier. Je dois dire que j'ai très peu goûté à ces accusations de polémiste.

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    J'ai donc passé plusieurs coups de téléphones. Notamment à la commission extra municipale chargée des noms de rues et j'apprends... Que le nom du personnage sur le buste a été identifié grâce à l'historien Claude Marquié, grâce également à la notice de Rémy Cazals dans le dictionnaire "Les Audois".  Par conséquent, il aurait été décidé avec les adjoints de la précédente municipalité de le signaler pour le déménagement. C'était, il y a plusieurs mois... Je téléphone donc à ces adjoints qui m'indiquent avoir fait le nécessaire mais se demandant pour quelle raison, on ne sait pas où il se trouve. La moindre des choses, me disent-ils, c'est que l'hôpital aurait dû nous signaler où ils l'avaient rangé.

    Cette journée se termina de la façon suivante... En fin d'après-midi, je reçois un commentaire des héritiers dans une formule bien moins choisie que la première, nous disant qu'après avoir contacté l'hôpital celui-ci leur indiqua que le buste était dans une réserve. Qu'il attendait parait-il, le moment, où il serait mis à nouveau dans l'établissement.

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    Nous en sommes fort heureux, mais alors... Pourquoi donc a t-il fallu notre article pour les faire réagir? Nous voyons bien que le buste n'avait pas été mis à la vue des publics, comme le prétendait le notable dans son appel téléphonique. Jacques Blanco avait raison! C'est bizarre dans cette ville, que chaque fois que l'on s'interroge sur la disparition d'une oeuvre d'art, elle réapparaisse dans les réserves. Loin de moi l'idée de prêter une mauvaise intention à la direction du nouvel hôpital, qui doit avoir d'autres chats à fouetter en ce moment. Toutefois, le passé nous a appris qu'un nombre conséquent d'objets publics se trouvent chez des particuliers: vitraux de St-Vincent, balustres de l'ancien square, plaques... Nous avions demandé qu'un recenscement des oeuvres d'arts sur le domaine public soit fait après le vol de la croix, par une commission. C'est en pure perte! Les eouvres de Jean Augé ont du soucis à se faire. Il n'y aura pas toujours des Blanco et des Andrieu pour s'en émouvoir. Ceux-là commencent à en avoir assez de l'ingratitude qui les frappe, pour un travail bénévole au service de la collectivité.

    S'il n'y avait pas eu des Antoine Labarre ou des Jean-Louis Bonnet, combien d'oeuvres auraient définitivement disparues du paysage urbain de notre ville? Concernant ce buste, il a été acheté par souscription publique en 1928.

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