Chers lecteurs,
Vous êtes toujours nombreux à vous être abonnés à la Newsletter et chacun d'entre vous reçoit les articles du blog directement par courriel. Ceux qui ne l'ont pas encore fait, sont toujours à temps de le faire. Je sais également que certaines personnes ont été désabonnées ; ceci n'est pas de mon fait mais de l'hébergeur. Je ne peux pas hélas résoudre ce problème , j'en suis désolé.
Comme vous le savez, ce blog est très lu. Il atteint en moyenne 400 lecteurs par jour avec des pointes - selon les articles - à plus de 1000. La rédaction d'articles élaborés sur la culture ou l'histoire demandent un grand travail de recherche et de rédaction. Je sais que vous en avez conscience... Dois-je ignorer qu'au sein des administrations à vocation touristique ou des services du patrimoine, mes articles sont imprimés ? Non, bien sûr - prennent-ils soin ensuite de citer d'où vient la source qui leur a permis de les renseigner ?
Alors pour tout cela, je ne demande rien - simplement que comme le chantait Trénet, vous ne passiez pas sans me voir, sans même me dire bonsoir. Laissez un petit message de temps en temps... Il y a une belle chanson de François Valéry : "Aimons-nous vivants, n'attendons pas que la mort nous trouve du talent."
N'attendez pas de moi comme autrefois que je rédige des articles créant des polémiques. Ce temps est révolu ; il m'a trop coûté et surtout des ennuis. J'ai rendu des services à la collectivité en faisant évoluer certaines choses, au détriment de ma santé et de mes propres intérêts. Pendant ce temps, les pousse-au-crime sont restés sagement à l'abri et ont bénéficié des fruits de mon travail - quand ils ne l'ont pas critiqué ensuite, car on distingue facilement les pleutres dans la société ; il mangent grassement sur le dos des autres et font leur nid comme le coucou.
Martial Andrieu